« Rue Marçais Martin » : différence entre les versions

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''C'est en souvenir de son fils Alphonse, tué à l'ennemi pendant l'Année terrible, que Mme Marçais-Martin a fait ce don aux Anciens Combattants de 1870.''|auteur=L'Ouest-Eclair|origine=Numéro du 17 mars 1911|collecteur=Manu35|date=2018}}
''C'est en souvenir de son fils Alphonse, tué à l'ennemi pendant l'Année terrible, que Mme Marçais-Martin a fait ce don aux Anciens Combattants de 1870.''|auteur=L'Ouest-Eclair|origine=Numéro du 17 mars 1911|collecteur=Manu35|date=2018}}


Aimée-Marie Marçais meurt le 1er mai 1911, à son domicile au 3, [[boulevard de la Tour d'Auvergne]] à Rennes, à l'âge de 92 ans. Elle lègue par testament mystique en date du 7 avril 1911, soit moins d'un mois avant son décès, à Albert Jouaust, colonel de génie en retraite, tous ses biens meubles et immeubles l'instituant son légataire universel. Elle lègue également à la Ville de Rennes, "la somme de 25 000 francs qui lui sera versée dans les six mois de son décès pour la création et l'aménagement d'une crèche [[rue de Nantes]]" et au bureau de Bienfaisance de Rennes, elle laisse la somme de 1 000 francs pour l'œuvre de la Maternité, [[ boulevard de la Tour d'Auvergne]]. De plus sa générosité ne s'arrête pas là, une somme de 25 000 francs devant aller "pour la fondation d'un lit pour un vieillard pauvre de la commune de Pacé" et 10 000 francs à placer en rentes sur l’État et arrérages à distribuer aux femmes sortant de la maternité.
Aimée-Marie Marçais meurt le 1er mai 1911, à son domicile au 3, [[boulevard de la Tour d'Auvergne]] à Rennes, à l'âge de 92 ans. Elle lègue par testament mystique en date du 7 avril 1911, soit moins d'un mois avant son décès, à Albert Jouaust, colonel de génie en retraite, tous ses biens meubles et immeubles l'instituant son légataire universel. Elle lègue également à la Ville de Rennes, "la somme de 25 000 francs qui lui sera versée dans les six mois de son décès pour la création et l'aménagement d'une crèche [[rue de Nantes]]" ''- il s'agira en fait d'une crèche réalisée [[rue Alain Bouchart]] entre 1925 et 1927<ref>http://patrimoine.bzh/gertrude-diffusion/dossier/creche-municipale-41-rue-alain-bouchard-rennes/273d96d9-0669-451d-926f-d8eb9f6de95a</ref>, ndlr -'' et au bureau de Bienfaisance de Rennes, elle laisse la somme de 1 000 francs pour l'œuvre de la Maternité, [[ boulevard de la Tour d'Auvergne]]. De plus sa générosité ne s'arrête pas là, une somme de 25 000 francs devant aller "pour la fondation d'un lit pour un vieillard pauvre de la commune de [[Pacé]]" et 10 000 francs à placer en rentes sur l’État et arrérages à distribuer aux femmes sortant de la maternité.




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