« Écluse Chapelle-Boby » : différence entre les versions

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* Il existait selon [[Paul Banéat]] une ''maison de la Chapelle-Boby'' au niveau du 113 de ''l'avenue du Mail-Donges'', actuellement [[avenue Aristide Briand]]. Attestée en [[1550]], elle appartenait à la famille '''Boby''' en [[1695]].
* Il existait selon [[Paul Banéat]] une ''maison de la Chapelle-Boby'' au niveau du 113 de ''l'avenue du Mail-Donges'', actuellement [[avenue Aristide Briand]]. Attestée en [[1550]], elle appartenait à la famille '''Boby''' en [[1695]].
Une ''carrière de la Chapelle-Boby'' est possédée par l'entrepreneur [[François Cavar]] dans les années 1850. Il s'en sert notamment vers 1858 pour l'entretien du [[chemin des Gayeulles]]<ref>Source : [http://patrimoine.region-bretagne.fr/main.xsp Le portail des patrimoines de Bretagne (Glad)]</ref>.
Une ''carrière de la Chapelle-Boby'' est possédée par l'entrepreneur [[François Cavar]] dans les années 1850. Il s'en sert notamment vers 1858 pour l'entretien du [[chemin des Gayeulles]]<ref>Source : [http://patrimoine.region-bretagne.fr/main.xsp Le portail des patrimoines de Bretagne (Glad)]</ref>.
* En [[1746]], un conflit à propos d'insultes proférées entre Perrine Marchand et François Lenoir, savetier, révèle que le lieu-dit de la Chapelle Boby n'était pas considéré banalement et était probablement mal fréquenté : ''Là voilà la bougresse qui fait crier harault sur moi ! Cela ne convient qu'à des putains et à des maquerelles de faire crier harault sur un honneste homme comme moy. Il conviendrait mieux qu'elle fût à la Chapelle Boby'', dit, le 24 janvier 1746, dans sa déposition François Carault, 30 ans, tapissier, douves de la Visitation, et François Fouquet, 35 ans, veuve Cocquet, brodeuse, tandis que Marguerite Gueudé, autre brodeuse, dit qu'il ''ajouta qu'elle eut mieux aimé estre à la Chapelle Boby''<ref>Archives départementales d'Ille-et-Vilaine : cote 2B 464.</ref>.


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