« Abattoirs de Rennes » : différence entre les versions
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Supprimés au début des années 2000, ces équipements ont fait place au centre pénitentiaire de [[Vezin-le-Coquet]]. Il abrite, outre le centre de détention et la maison d'arrêt pour hommes, un quartier pour les personnes détenues condamnées à une courte peine et un service médico-psychologique régional et trois unités de vie familiales. | Supprimés au début des années 2000, ces équipements ont fait place au centre pénitentiaire de [[Vezin-le-Coquet]] en 2012. Il abrite, outre le centre de détention et la maison d'arrêt pour hommes, un quartier pour les personnes détenues condamnées à une courte peine et un service médico-psychologique régional et trois unités de vie familiales. | ||
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Version du 18 mars 2017 à 10:45
L'abattoir de la route de Lorient
Jusqu'en 1968 l'abattoir de Rennes, ouvert le 15 mars 1855[1] et situé au sud du pont Robert Schuman, en rive gauche de la Vilaine, rue de la Mabilais, pourvoyait à l'alimentation des Rennais, longtemps dans des conditions de salubrité insuffisantes, et depuis 1951, à celle des habitants des communes périphériques, soit 130 000 habitants au total. Vétuste et insuffisant, il est remplacé à partir du 4 avril 1968, sur 10 hectares situés dans la zone d'activités de la Chambre de commerce, desservis par la RN 24 et la voie ferrée Paris-Brest, par un édifice moderne avec halls d’abattage mécanisés, d'une capacité double de l'ancien. L'emprise de l'ancien abattoir accueille quelques années plus tard l'immeuble de France Télécom conçu par Louis Arretche qui abrite depuis 2015 les équipes de la "French Tech" œuvrant dans le numérique.
L'exploitation d'un frigorifique polyvalent, fut concédée par la Ville de Rennes à la C.E.G.F. en mai 1965 pour une durée de 30 ans.
Supprimés au début des années 2000, ces équipements ont fait place au centre pénitentiaire de Vezin-le-Coquet en 2012. Il abrite, outre le centre de détention et la maison d'arrêt pour hommes, un quartier pour les personnes détenues condamnées à une courte peine et un service médico-psychologique régional et trois unités de vie familiales.
Sur la carte
Notes et Références
- ↑ "L'épopée des premiers abattoirs rennais": http://www.placepublique-rennes.com/article/Lepopee-des-premiers-abattoirs-rennais