« Allée Adèle de Bretagne » : différence entre les versions

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== Biographie de Adèle de Bretagne, 1ère Abbesse de l’Abbaye Saint-Georges <ref>à partir de la notice rédigée par Joël DAVID, chargé d'odonymie à la Ville de Rennes, Rennes Métropole</ref>==
== Biographie de Adèle de Bretagne, 1ère Abbesse de l’Abbaye Saint-Georges <ref>à partir de la notice rédigée par Joël DAVID, chargé d'odonymie à la Ville de Rennes, Rennes Métropole</ref>==


Adèle 1ère de Bretagne, fille de Geoffroy 1er, Comte de Rennes, Duc de Bretagne et de Havoise de Normandie, petite-fille de Conan 1er, Comte de Rennes et Duc de Bretagne, fut la première abbesse<ref>Supérieure d’une abbaye</ref>de l’Abbaye Saint-Georges.
Adèle 1ère de Bretagne, fille de [[Geoffroy 1er]], Comte de Rennes, Duc de Bretagne et de Havoise de Normandie, petite-fille de [[Conan 1er]], Comte de Rennes et Duc de Bretagne, fut la première abbesse<ref>Supérieure d’une abbaye</ref>de l’[[Abbaye Saint-Georges]].


Vers 1032 ; Alain III (997 – 1040), Comte de Rennes, Duc de Bretagne qui aime tendrement sa sœur Adèle, la comble de bienfaits et fonde pour elle l’[[Abbaye Saint-Georges]] à Rennes. Sa mère, la Duchesse Havoise, et Eudon, son frère, le secondent et l’imitent dans ses pieuses largesses.
Vers [[1032]] ; [[Alain III]] (997 – 1040), Comte de Rennes, Duc de Bretagne qui aime tendrement sa sœur Adèle, la comble de bienfaits et fonde pour elle l’[[Abbaye Saint-Georges]] à Rennes. Sa mère, la Duchesse Havoise, et Eudon, son frère, le secondent et l’imitent dans ses pieuses largesses.


En adoptant la règle de Saint-Benoit, Adèle 1ère de Bretagne reçoit dans la communauté, dès l’origine, les jeunes vierges qui veulent consacrer leur jeunesse à Dieu, des femmes déjà avancées dans la vie et des veuves ; bien qu’aucun statut écrit ne le précise, avec le temps la coutume va établir que l’[[Abbaye Saint-Georges]] n’admette que des filles de haute lignée.
En adoptant la règle de Saint-Benoit, Adèle 1ère de Bretagne reçoit dans la communauté, dès l’origine, les jeunes vierges qui veulent consacrer leur jeunesse à Dieu, des femmes déjà avancées dans la vie et des veuves ; bien qu’aucun statut écrit ne le précise, avec le temps la coutume va établir que l’[[Abbaye Saint-Georges]] n’admette que des filles de haute lignée.


Adèle de Bretagne meurt le 3 ou 4 Mars 1067 et est inhumée dans un cercueil en pierre de grain, au Chapitre<ref>Assemblée tenue par des chanoines, des religieux ou des religieuses</ref> de l’abbaye.
Adèle de Bretagne meurt le 3 ou 4 Mars [[1067]] et est inhumée dans un cercueil en pierre de grain, au Chapitre<ref>Assemblée tenue par des chanoines, des religieux ou des religieuses</ref> de l’abbaye.


== Note et références ==  
== Note et références ==  

Version du 24 mai 2011 à 17:22

L'allée Adèle de Bretagne se situe dans le quartier 7 : Francisco Ferrer - Landry - Poterie.

Biographie de Adèle de Bretagne, 1ère Abbesse de l’Abbaye Saint-Georges [1]

Adèle 1ère de Bretagne, fille de Geoffroy 1er, Comte de Rennes, Duc de Bretagne et de Havoise de Normandie, petite-fille de Conan 1er, Comte de Rennes et Duc de Bretagne, fut la première abbesse[2]de l’Abbaye Saint-Georges.

Vers 1032 ; Alain III (997 – 1040), Comte de Rennes, Duc de Bretagne qui aime tendrement sa sœur Adèle, la comble de bienfaits et fonde pour elle l’Abbaye Saint-Georges à Rennes. Sa mère, la Duchesse Havoise, et Eudon, son frère, le secondent et l’imitent dans ses pieuses largesses.

En adoptant la règle de Saint-Benoit, Adèle 1ère de Bretagne reçoit dans la communauté, dès l’origine, les jeunes vierges qui veulent consacrer leur jeunesse à Dieu, des femmes déjà avancées dans la vie et des veuves ; bien qu’aucun statut écrit ne le précise, avec le temps la coutume va établir que l’Abbaye Saint-Georges n’admette que des filles de haute lignée.

Adèle de Bretagne meurt le 3 ou 4 Mars 1067 et est inhumée dans un cercueil en pierre de grain, au Chapitre[3] de l’abbaye.

Note et références

  1. à partir de la notice rédigée par Joël DAVID, chargé d'odonymie à la Ville de Rennes, Rennes Métropole
  2. Supérieure d’une abbaye
  3. Assemblée tenue par des chanoines, des religieux ou des religieuses