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L''''allée Henri Gardarein-Freytet''', à Rennes, est une impasse dont l'accès se fait par la [[rue de la | L''''allée Henri Gardarein-Freytet''', à Rennes, est une impasse dont l'accès se fait par la [[rue de la 87ème Division Territoriale]]. Elle est située au sud du [[cimetière de l'Est]] dans le quartier 7 : Francisco Ferrer - Landry - Poterie. Cette voie fut dénommée par délibération du conseil municipal de la Ville de Rennes le 28 février 1972<ref>Délibérations municipales, [http://www.archives.rennes.fr/recherche/fonds/affichedetailmod.php?cot=1D313 Archives de Rennes]</ref>. | ||
Cette voie créée lors de la grande urbanisation de Rennes dans les années 1970, a été dénommée d'un nom de combattant de la Grande Guerre, chose assez rare dans les noms de rues choisis à cette époque. C'est en effet après 6 ans de démarches très appuyées que Mademoiselle Gardarein-Freytet parvient à faire dénommer une voie en mémoire de son père. | Cette voie créée lors de la grande urbanisation de Rennes dans les années 1970, a été dénommée d'un nom de combattant de la Grande Guerre, chose assez rare dans les noms de rues choisis à cette époque. C'est en effet après 6 ans de démarches très appuyées que Mademoiselle Gardarein-Freytet parvient à faire dénommer une voie en mémoire de son père. | ||
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Devenu sous-lieutenant au 10ème régiment d'artillerie de Rennes et habitant "''avenue de la Tour d'Auvergne''" ([[boulevard de la Tour d'Auvergne]] en réalité, NDLR), il se marie avec Jeanne Cabrye le 5 octobre 1902<ref>L'Ouest-Eclair du 10 octobre 1902, page 4</ref>. Gardarein-Freytet est ensuite temporairement affecté au 31ème d'artillerie du Mans en 1908<ref>L'Ouest-Eclair du 8 décembre 1908, page 2</ref>. Ils vivent au 23 [[rue Alexandre Duval]] en 1912<ref>L'Ouest-Eclair du 2 juillet 1912, page 6</ref>. | Devenu sous-lieutenant au 10ème régiment d'artillerie de Rennes et habitant "''avenue de la Tour d'Auvergne''" ([[boulevard de la Tour d'Auvergne]] en réalité, NDLR), il se marie avec Jeanne Cabrye le 5 octobre 1902<ref>L'Ouest-Eclair du 10 octobre 1902, page 4</ref>. Gardarein-Freytet est ensuite temporairement affecté au 31ème d'artillerie du Mans en 1908<ref>L'Ouest-Eclair du 8 décembre 1908, page 2</ref>. Ils vivent au 23 [[rue Alexandre Duval]] en 1912<ref>L'Ouest-Eclair du 2 juillet 1912, page 6</ref>. | ||
Gardarein-Freytet reçoit le titre de chevalier de la Légion d' | Gardarein-Freytet reçoit le titre de chevalier de la Légion d'honneur à titre posthume en 1920. | ||
Un terrain situé [[rue de Riaval]] et appartenant à sa veuve Mme Gardarein-Freytet fit l'objet de négociations à partir de 1933 avec la Ville de Rennes, et fut finalement aménagé en lotissement<ref>https://patrimoine.bzh/gertrude-diffusion/dossier/lotissement-gardarein-freytet-dit-de-la-caliorne-36-a-44-et-21-a-27-rue-de-riaval-rue-de-la-caliorne-rue-gustave-flaubert-rue-albert-de-mun-rennes/2e39aa61-1b05-4945-90cc-faabc1881997</ref>. | Un terrain situé [[rue de Riaval]] et appartenant à sa veuve Mme Gardarein-Freytet fit l'objet de négociations à partir de 1933 avec la Ville de Rennes, et fut finalement aménagé en lotissement<ref>https://patrimoine.bzh/gertrude-diffusion/dossier/lotissement-gardarein-freytet-dit-de-la-caliorne-36-a-44-et-21-a-27-rue-de-riaval-rue-de-la-caliorne-rue-gustave-flaubert-rue-albert-de-mun-rennes/2e39aa61-1b05-4945-90cc-faabc1881997</ref>. |