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A l'origine de la ZUP de [[Villejean]], elle va de l'extrémité Sud de l'[[Avenue Gaston-Berger]] à l'extrémité Sud du [[boulevard d'Anjou]] (l'actuel rond-point avec la route de Saint-Brieuc n'existe pas). L'[[Avenue du Languedoc]] est donc alors une pénétrante vers la partie Ouest du quartier ([[boulevard d'Anjou]] et au-delà). Dès ce moment, sa structure est un peu complexe ; elle comprend deux parties : la première, entre Gaston-Berger et Churchill est en sens unique vers l'Ouest (la circulation vers la ville étant assurée par le [[boulevard Saint-Jean-Baptiste-de-la-Salle]], également à sens unique sur ce tronçon) ; la seconde, entre Churchill et Anjou est à double sens, et comporte, en outre, une contre-allée. Cette situation a duré une quarantaine d'années. | A l'origine de la ZUP de [[Villejean]], elle va de l'extrémité Sud de l'[[Avenue Gaston-Berger]] à l'extrémité Sud du [[boulevard d'Anjou]] (l'actuel rond-point avec la route de Saint-Brieuc n'existe pas). L'[[Avenue du Languedoc]] est donc alors une pénétrante vers la partie Ouest du quartier ([[boulevard d'Anjou]] et au-delà). Dès ce moment, sa structure est un peu complexe ; elle comprend deux parties : la première, entre Gaston-Berger et Churchill est en sens unique vers l'Ouest (la circulation vers la ville étant assurée par le [[boulevard Saint-Jean-Baptiste-de-la-Salle]], également à sens unique sur ce tronçon) ; la seconde, entre Churchill et Anjou est à double sens, et comporte, en outre, une contre-allée. Cette situation a duré une quarantaine d'années. | ||
Tout a commencé à changer avec la création du rond-point Anjou/route de Saint-Brieuc (2002) qui a absorbé une bonne partie du trafic utilisant auparavant l'avenue. La Ville a alors décidé le déclassement de la seconde partie de l'avenue et a choisi de céder cet espace à la Foncière Logement pour un euro symbolique (malgré les réserves des Domaines) (délibérations du Conseil Municipal du 11 septembre 2006 et du…) ainsi qu'à [[Archipel Habitat]] (au prix du marché). Archipel Habitat a ainsi pu construire une Cité Universitaire de 200 chambres, venant partiellement en remplacement de la Cité du [[square de Normandie]], vouée à la "déconstruction" (désormais effective) ; la nouvelle Cité a été mise en service à la rentrée 2010. En continuité avec la Cité sont prévus deux petits immeubles comportant en tout 38 logements (moitié en locatif, moitié en accession) ; les travaux ont commencé au printemps 2011. | Tout a commencé à changer avec la création du rond-point Anjou/route de Saint-Brieuc (2002) qui a absorbé une bonne partie du trafic utilisant auparavant l'avenue. La Ville a alors décidé le déclassement de la seconde partie de l'avenue et a choisi de céder cet espace à la Foncière Logement pour un euro symbolique (malgré les réserves des Domaines) (délibérations du Conseil Municipal du 11 septembre 2006 et du…) ainsi qu'à [[Archipel Habitat]] (au prix du marché). Archipel Habitat a ainsi pu construire une Cité Universitaire de 200 chambres, venant partiellement en remplacement de la Cité du [[square de Normandie]], vouée à la "déconstruction" (désormais effective) ; la nouvelle Cité a été mise en service à la rentrée 2010. En continuité avec la Cité sont prévus deux petits immeubles comportant en tout 38 logements (moitié en locatif, moitié en accession) ; les travaux ont commencé au printemps 2011, les logements ont pu être occupés au printemps 2013. | ||
La Foncière Logement, de son côté, relayée par la Coopérative HLM Coin de Terre et Foyer de Cholet, elle-même relayée par le groupe nantais Gambetta, portait un projet de 52 logements dits "intermédiaires" conçu selon le procédé de l'ossature bois ; l'opposition des riverains s'est traduite par la création de l'Association Berry-Languedoc-Croix Rouge. Les travaux ont débuté en janvier 2010 ; ils se sont arrêtés en janvier 2011, suite à des déboires liés au procédé retenu. Le groupe Gambetta, pour le maître d'ouvrage, a décidé de reprendre le chantier en septembre, mais désormais en ossature béton, c'est-à-dire après déconstruction des parties bois déjà réalisées. | La Foncière Logement, de son côté, relayée par la Coopérative HLM Coin de Terre et Foyer de Cholet, elle-même relayée par le groupe nantais Gambetta, portait un projet de 52 logements dits "intermédiaires" conçu selon le procédé de l'ossature bois ; l'opposition des riverains s'est traduite par la création de l'Association Berry-Languedoc-Croix Rouge. Les travaux ont débuté en janvier 2010 ; ils se sont arrêtés en janvier 2011, suite à des déboires liés au procédé retenu. Le groupe Gambetta, pour le maître d'ouvrage, a décidé de reprendre le chantier en septembre, mais désormais en ossature béton, c'est-à-dire après déconstruction des parties bois déjà réalisées. Cependant une procédure de contentieux semble avoir bloqué ce projet et, à la mi-2013, le chantier reste gelé. | ||
A noter que l'ex-contre-allée est conservée comme voie publique et s'est vue attribuer l'appellation de [[Rue Joseph Martray]]. | A noter que l'ex-contre-allée est conservée comme voie publique et s'est vue attribuer l'appellation de [[Rue Joseph Martray]]. |
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