« Coût de la vie à Rennes au 18e siècle » : différence entre les versions

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* En [[1711]], Jean Malenfant, mari de Marie Fraudin, aubergiste à la maison de la Grille de fer, près du [[Faubourg Saint-Melaine|faubourg Saint Melaine]], est inquiété par la justice, pour les coups donnés à François Touzé, maître musicien, et à Sebastien Basset, joueur d'instruments, le jeudi 29 octobre dernier, ayant joué, aux noces dudit Malenfant, jusqu'à minuit, au lieu des 21 heures convenues, pour la somme de cinq livres (deux violons, une basse et un hautbois) qu'ils voulaient voir complétée.<ref>Source : Archives départementales d'Ille-et-Vilaine. 2B 1039.</ref>.
* En [[1711]], Jean Malenfant, mari de Marie Fraudin, aubergiste à la maison de la Grille de fer, près du [[Faubourg Saint-Melaine|faubourg Saint Melaine]], est inquiété par la justice, pour les coups donnés à François Touzé, maître musicien, et à Sebastien Basset, joueur d'instruments, le jeudi 29 octobre dernier, ayant joué, aux noces dudit Malenfant, jusqu'à minuit, au lieu des 21 heures convenues, pour la somme de cinq livres (deux violons, une basse et un hautbois) qu'ils voulaient voir complétée.<ref>Source : Archives départementales d'Ille-et-Vilaine. 2B 1039.</ref>.
* En [[1768]], dans une affaire de coups et blessures, un chirurgien prévoit une trépanation coûtant 400 livres<ref>Source : Archives départementales d'Ille-et-Vilaine. 2B 1070.</ref>.


* En octobre [[1754]], dans un billet laissé par la mère de l'enfant trouvé mort au bas de l'[[église Saint-Sauveur|église Saint Sauveur]], ''actuellement sur la table où on coupe le pain béni'', elle indique qu'elle n'avait pas les moyens de donner cent sols au porte-corps et que l'enfant a été baptisé à la maison seulement étant mort comme prématuré<ref>Source : Archives départementales d'Ille-et-Vilaine. 2B 1046.</ref>.
* En octobre [[1754]], dans un billet laissé par la mère de l'enfant trouvé mort au bas de l'[[église Saint-Sauveur|église Saint Sauveur]], ''actuellement sur la table où on coupe le pain béni'', elle indique qu'elle n'avait pas les moyens de donner cent sols au porte-corps et que l'enfant a été baptisé à la maison seulement étant mort comme prématuré<ref>Source : Archives départementales d'Ille-et-Vilaine. 2B 1046.</ref>.
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