« L'Heure bretonne » : différence entre les versions

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Il se réjouissait de l’effondrement de la République française qui répandait, selon lui, « une odeur de compromission, des relents maçonniques, de grasses senteurs de Juifs ». Des articles traduisaient néanmoins une critique permanentes du gouvernement de Vichy, une haine contre l'Angleterre et d'autres affichaient la solidarité à l'égard de l'Allemagne nazie par la relation des exploits de la Wehrmacht.
Il se réjouissait de l’effondrement de la République française qui répandait, selon lui, « une odeur de compromission, des relents maçonniques, de grasses senteurs de Juifs ». Des articles traduisaient néanmoins une critique permanentes du gouvernement de Vichy, une haine contre l'Angleterre et d'autres affichaient la solidarité à l'égard de l'Allemagne nazie par la relation des exploits de la Wehrmacht.
Le 15 mai 1941, le commandant de la section de gendarmerie de Rennes décrit les inscriptions de propagande séparatiste faites au goudron sur les murs des principaux bâtiments de Rennes entre le 25 et le 27 avril  telles que: à la préfecture "Ripert, va-t'en !" Vive la Bretagne libre !", commisssariat central : "Police bretonne", maison centrale : "A bas les pantins de Vichy", "prison bretonne. Cellule pour Ripert et ses valets".


Alors que le monde libre est en guerre contre le nazisme, on peut lire des slogans tel que « ni français, ni allemand, breton seulement! » en première page, puis un article donnant au Reich le rôle de « défenseur de l'occident ».
Alors que le monde libre est en guerre contre le nazisme, on peut lire des slogans tel que « ni français, ni allemand, breton seulement! » en première page, puis un article donnant au Reich le rôle de « défenseur de l'occident ».
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