La Bourdonnais

De WikiRennes
Aller à la navigationAller à la recherche

La famille de La Bourdonnaye dont le berceau à Trégomar, a pris racine à Gévezé où Guillaume II de La Bourdonnaye, écuyer, né à Gévezé (1320-1385) fut seigneur de Vaumarquer, de la Bourdonnaye, en Gévezé.

Le patronyme La Bourdonnaye s'écrivait aussi La Bourdonnais. L'orthographe n'existait pas vraiment à cette époque et le nom de famille se terminait soit par "aye" ou "ais".

Il existe un mystère d'autant que plusieurs navigateurs célèbres signaient avec les deux patronymes. Un lieu-dit "La Bourdonnais" est aussi présent entre Gévezé et la Mézière, sur la route du meuble.

Louis-Charles Mahé de La Bourdonnais, un célèbre joueur d'échecs

l'un des descendants La Bourdonnaye, célèbre joueur breton d’échecs, mit sur la place publique ce jeu oriental né aux Indes, lors d’un match contre Alexander McDonnell, quelques années avant l’Exposition universelle de Londres de 1851 organisatrice du premier tournoi international de ce genre.

Cet intellectuel, issu d’une grande lignée bretonne, lança la première revue franco britannique d’échecs "Le Palamède", en référence à ce héros grec insurgé, repris dans la légende arthurienne, dénonçant la guerre longue et coûteuse faite par La Grèce aux Troyens.

Un monument breton en l'honneur de la Bourdonnais, un proche de Pierre Poivre qui rapporta le jeu d'échecs des Indes ?

La Bourdonnais Street

La Bourdonnais, cet intellectuel, qui accompagna Pierre Poivre dans l'Océan indien, a lancé la première revue franco-britannique d’échecs : Le Palamède, en référence à ce héros grec insurgé, repris dans la légende arthurienne, dénonçant la guerre longue et coûteuse faite par la Grèce aux Troyens.

De son nom exact : Louis Charles de la Bourdonnais mit le jeu d’échec sur la place publique en Europe, grâce à un match contre le londonien Alexander McDonnell en 1834, quelques années avant l’Exposition universelle de 1851 qui accueillit le premier tournoi international de ce jeu oriental né aux Indes, transformé en Perse puis en Grèce, enfin remodelé par la civilisation arabe vers l'Occident chrétien. Bref, un voyage universel de près de 500 ans !

Pour soutenir ce projet, un appel a été lancé auprès de Sadiq Khan, maire de Londres, dont le parcours familial et politique est lié à la partition des Indes.

La ville de Londres a mis en place plusieurs dispositifs d'appui à des campagnes de financement participatif dont : Crowdfund et SpaceHive pour ce type d'initiative.