« La Piletière » : différence entre les versions

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L''''hospice de la Piletière''' est fondé en 1789 par le sieur Guy-Julien-Toussaint Carron, vicaire à [[Église Saint-Germain|Saint-Germain]] de Rennes, qui avait acheté sur la route
L''''hospice de La Piletière''' est fondé en 1789 par le sieur Guy-Julien-Toussaint Carron, vicaire à [[Église Saint-Germain|Saint-Germain]] de Rennes, qui avait acheté sur la route
de Paris, un peu au-delà de l' [[Asile de Saint-Méen]], une fabrique de toiles de
de Paris, un peu au-delà de l' [[Asile de Saint-Méen]], une fabrique de toiles de
80 métiers. Il y consacra trois salles d'hospice aux vieux ouvriers fatigués, et
80 métiers. Il y consacra trois salles d'hospice aux vieux ouvriers fatigués, et
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retrace une partie de l'évolution de la Piletière, enclose aujourd'hui dans la paroisse [[Sainte Jeanne-d'Arc]], devenue maison de retraite.  
retrace une partie de l'évolution de la Piletière, enclose aujourd'hui dans la paroisse [[Sainte Jeanne-d'Arc]], devenue maison de retraite.  


Dans le courant de 185l, la Communauté obtint facilement une promesse de vente. L'acte de vente est signé le 8 avril par devant Me Duclos notaire à Rennes. Le domaine s'étendait sur une surface de trois hectares trente-trois ares. Il appartenait à des personnes qui touchaient de très près l'évêque de Rennes puisque sa propre mère, Dame Aimée Couarde, veuve de Mr [[Godefroy Brossays Saint-Marc]], était au nombre des copropriétaires. En fait, la ville de Rennes possédait déjà un Hôtel-Dieu desservi par les religieuses de [[Saint-Augustin]] et destiné aux (indigents malades); un Hospice général pour (les infirmes de tout âge, les vieillards et les orphelins), confié aux Dames de Saint-Thomas de Villeneuve, un Hospice des incurables, et en plus l'Hospice de Saint-Méen, au tertre de joué, où les Sœurs de la Charité traitaient les fous, les épileptiques, les teigneux et les galeux.
Dans le courant de 1851, la Communauté obtint facilement une promesse de vente. L'acte de vente est signé le 8 avril par devant Me Duclos notaire à Rennes. Le domaine s'étendait sur une surface de trois hectares trente-trois ares. Il appartenait à des personnes qui touchaient de très près l'évêque de Rennes puisque sa propre mère, Dame Aimée Couarde, veuve de Mr [[Godefroy Brossays Saint-Marc]], était au nombre des copropriétaires. En fait, la ville de Rennes possédait déjà un Hôtel-Dieu desservi par les religieuses de [[Saint-Augustin]] et destiné aux (indigents malades); un Hospice général pour (les infirmes de tout âge, les vieillards et les orphelins), confié aux Dames de Saint-Thomas de Villeneuve, un Hospice des incurables, et en plus l'Hospice de Saint-Méen, au tertre de joué, où les Sœurs de la Charité traitaient les fous, les épileptiques, les teigneux et les galeux.


Malheureusement, l'existence de ces quatre hôpitaux n'empêchait pas la présence  à Rennes de nombreux vieillards réduits à la mendicité.  
Malheureusement, l'existence de ces quatre hôpitaux n'empêchait pas la présence  à Rennes de nombreux vieillards réduits à la mendicité.  
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