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[[Fichier:4459061117110619g_eugen_konig.jpg|100px|left|thumb|Le colonel Eugen König, chargé de la défense de Rennes, plus tard Generalleutnant]] | [[Fichier:4459061117110619g_eugen_konig.jpg|100px|left|thumb|Le colonel Eugen König, chargé de la défense de Rennes, plus tard Generalleutnant]] | ||
[[Fichier:D33fd21257_batterie_a_maison_blanche.jpg|250px|left|thumb|Canons de la batterie allemande à Maison-Blanche]] | [[Fichier:D33fd21257_batterie_a_maison_blanche.jpg|250px|left|thumb|Canons de la batterie allemande à Maison-Blanche]] | ||
[[Fichier: | [[Fichier:Bruce_C._Clarke.png|left|250px|thumb|Bruce C. Clarke, colonel commandant le groupe de combat A de la 4e division blindée]] | ||
Le 5 juillet au matin, 600 prisonniers alliés détenus au camp de la Marne (Stalag 221) sont embarqués dans des wagons à bestiaux, direction l'Allemagne. | Le 5 juillet au matin, 600 prisonniers alliés détenus au camp de la Marne (Stalag 221) sont embarqués dans des wagons à bestiaux, direction l'Allemagne. | ||
Dans la matinée du 7 juillet, l'armée allemande s'était livrée à des tirs d'artillerie à diverse entrées de Rennes : notamment au nord de [[Saint-Grégoire]] vers [[Montgermont]] (route de Saint-Malo), de la route de Fougères en direction de Liffré, vers [[Thorigné-Fouillard|Thorigné]], au sud du [[Le Rheu|Rheu]] et au nord-ouest de [[Pacé]] ([[route de Saint-Brieuc]]), de [[Chantepie]] à [[Cesson-Sévigné|Cesson]] (route de Paris). La population avait été avertie la veille que l'accès à ces terrains serait interdit et qu'il y avait danger de mort à y pénétrer<ref> L'Ouest-Eclair du 6 juillet 1944</ref>. | Dans la matinée du 7 juillet, l'armée allemande s'était livrée à des tirs d'artillerie à diverse entrées de Rennes : notamment au nord de [[Saint-Grégoire]] vers [[Montgermont]] (route de Saint-Malo), de la route de Fougères en direction de Liffré, vers [[Thorigné-Fouillard|Thorigné]], au sud du [[Le Rheu|Rheu]] et au nord-ouest de [[Pacé]] ([[route de Saint-Brieuc]]), de [[Chantepie]] à [[Cesson-Sévigné|Cesson]] (route de Paris). La population avait été avertie la veille que l'accès à ces terrains serait interdit et qu'il y avait danger de mort à y pénétrer<ref> L'Ouest-Eclair du 6 juillet 1944</ref>. |
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