« Mille Club » : différence entre les versions

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{{citation|texte=Le '''Mille Club''' est né vers les années 68/70, après les événements de 68.
{{citation|texte=Le '''Mille Club''' est né vers les années 68/70, après les événements de 68.
Les jeunes étaient en autogestion. Les services « travaux » de la Ville chapotaient, tandis que parents et ados s’investissaient dans le projet : d’abord dans les travaux puis dans l’animation. A 17 ans, j’ai défendu le dossier d’une personne qui voulait devenir animatrice. Elle a ensuite été embauchée. Avant, c’est un prêtre ouvrier qui s’occupait de l’animation du Mille Club.
Les jeunes étaient en autogestion. Les services « travaux » de la Ville chapeautaient, tandis que parents et ados s’investissaient dans le projet : d’abord dans les travaux puis dans l’animation. A 17 ans, j’ai défendu le dossier d’une personne qui voulait devenir animatrice. Elle a ensuite été embauchée. Avant, c’est un prêtre ouvrier qui s’occupait de l’animation du Mille Club.


On pouvait se réunir autour d'activités diverses (ateliers photos, tours en poney, modélisme...). Un tour de vélo en Bretagne a même été organisé ! C’était un lieu de rencontre pour tous les jeunes du quartier. Les rapatriés d’Algérie logés aux « grands Clôteaux » venaient souvent aux activités. C’était gratuit. On discutait, on écoutait de la musique. Il y avait beaucoup de familles nombreuses. J’étais trésorier du « Mille Club ». A cette époque, on pouvait manger pour 3,50 frs.
On pouvait se réunir autour d'activités diverses (ateliers photos, tours en poney, modélisme...). Un tour de vélo en Bretagne a même été organisé ! C’était un lieu de rencontre pour tous les jeunes du quartier. Les rapatriés d’Algérie logés aux « grands Clôteaux » venaient souvent aux activités. C’était gratuit. On discutait, on écoutait de la musique. Il y avait beaucoup de familles nombreuses. J’étais trésorier du « Mille Club ». A cette époque, on pouvait manger pour 3,50 frs.
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