« Rue Clotilde Vautier » : différence entre les versions

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Clotilde, Marie, Jeanne Suzanne Vautier est née dans une famille de trois enfants dont le père est officier de la Marine Nationale. Elle fait ses études secondaires à l'Institution Sainte-Chantal à Cherbourg. En 1955, elle entre dans la troupe de théâtre de l'école et joue dans plusieurs pièces. En 1957, après son bac de philosophie, qu'elle obtient avec mention, elle entre à l'École des Beaux-Arts du Mans, car très tôt Clotilde a manifesté son goût pour la peinture. En 1959, elle arrive à l'École des Beaux-Arts de Rennes, pour y préparer le diplôme national des Beaux-Arts.
Clotilde, Marie, Jeanne Suzanne Vautier est née dans une famille de trois enfants dont le père est officier de la Marine Nationale. Elle fait ses études secondaires à l'Institution Sainte-Chantal à Cherbourg. En 1955, elle entre dans la troupe de théâtre de l'école et joue dans plusieurs pièces. En 1957, après son bac de philosophie, qu'elle obtient avec mention, elle entre à l'École des Beaux-Arts du Mans, car très tôt Clotilde a manifesté son goût pour la peinture. En 1959, elle arrive à l'École des Beaux-Arts de Rennes, pour y préparer le diplôme national des Beaux-Arts.


Ici elle rencontre deux frères, fils de Républicains espagnols réfugiés à Rennes, Antonio et Mariano Otero, qui sont arrivés trois ans auparavant, pour rejoindre leur père, Antonio Otero-Seco, journaliste antifranquiste, qui a fui son pays en 1947 et qui est devenu enseignant à l'Université de Rennes, lecteur à la Faculté de Lettres, critique littéraire pour le monde hispanique, en collaborant, en particulier, avec le journal "le Monde".
Ici elle rencontre deux frères, fils de Républicains espagnols réfugiés à Rennes, Antonio et [[Mariano Otero]], qui sont arrivés trois ans auparavant, pour rejoindre leur père, Antonio Otero-Seco, journaliste anti-franquiste, qui a fui son pays en 1947 et qui est devenu enseignant à l'Université de Rennes, lecteur à la Faculté de Lettres, critique littéraire pour le monde hispanique, en collaborant, en particulier, avec le journal "le Monde".


Durant l'année 1960-1961, elle enseigne au Lycée Malherbe de Caen et en profite pour se rendre à l'hippodrome de la ville où elle réalise une série de dessins et d'aquarelles qu'elle intitule "Le sport hippique à Caen". Durant l'année suivante, elle enseigne dans une institution privée à Rennes.
Durant l'année 1960-1961, elle enseigne au Lycée Malherbe de Caen et en profite pour se rendre à l'hippodrome de la ville où elle réalise une série de dessins et d'aquarelles qu'elle intitule "Le sport hippique à Caen". Durant l'année suivante, elle enseigne dans une institution privée à Rennes.
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