« Rue Ferdinand Buisson » : différence entre les versions

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[[Fichier:w0424.jpg|left|thumb|360x360px|Rue Beaumanoir et '''Volvire''' (''et non pas Voloire''). ''La rue Volvire est le prolongement de la rue Beaumanoir au droit de l'Hôtel de Ville, au second plan sur ce cliché''. '''Édition des Nouvelles Rennaises''' 138, voyagé 1936. Coll. YRG ]]
[[Fichier:w0424.jpg|left|thumb|360x360px|Rue Beaumanoir et '''Volvire''' (''et non pas Voloire''). ''La rue Volvire est le prolongement de la rue Beaumanoir au droit de l'Hôtel de Ville, au second plan sur ce cliché''. '''Édition des Nouvelles Rennaises''' 138, voyagé 1936. Coll. YRG ]]
[[Fichier:Rue_Ferdinand_Buisson_place_de_la_mairie.png|400px|right|thumb|Au bas de la place de la mairie, début 20e siècle]]
La '''rue Ferdinand Buisson''' est une courte voie est-ouest longeant le côté sud de la [[place de la Mairie]] et l'extrémité sud de l'[[hôtel de ville]]. Elle aboutit, à l'ouest, à la jonction [[rue de Rohan]] - [[rue de l'Horloge]] où elle est prolongée par la [[rue Beaumanoir]]. Cette dénomination est actée par délibération du conseil municipal du 1 avril 1932.
La '''rue Ferdinand Buisson''' est une courte voie est-ouest longeant le côté sud de la [[place de la Mairie]] et l'extrémité sud de l'[[hôtel de ville]]. Elle aboutit, à l'ouest, à la jonction [[rue de Rohan]] - [[rue de l'Horloge]] où elle est prolongée par la [[rue Beaumanoir]]. Cette dénomination est actée par délibération du conseil municipal du 1 avril 1932.


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[[Fichier:Ferdinand_buisson_.jpg|150px|right|thumb|Ferdinand Buisson]]
 
== Ferdinand Buisson ==
== Ferdinand Buisson ==


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En 1898, partisan du capitaine [[Alfred Dreyfus]], Buisson participe à la création de la ''Ligue française des droits de l'Homme'' dont il sera président de 1913 à 1926. Il fut président de la ''Ligue de l'enseignement'' de 1902 à 1906. En 1927, le prix Nobel de la paix lui est attribué conjointement à Ludwig Quidde.
En 1898, partisan du capitaine [[Alfred Dreyfus]], Buisson participe à la création de la ''Ligue française des droits de l'Homme'' dont il sera président de 1913 à 1926. Il fut président de la ''Ligue de l'enseignement'' de 1902 à 1906. En 1927, le prix Nobel de la paix lui est attribué conjointement à Ludwig Quidde.
Philosophe et éducateur, il a été directeur de l'Enseignement primaire. Il est l'auteur d'une thèse sur Sébastien Castellion, en qui il voit un « protestant libéral » à son image.  
Philosophe et éducateur, il a été directeur de l'Enseignement primaire. Il est l'auteur d'une thèse sur Sébastien Castellion, en qui il voit un « protestant libéral » à son image.
[[Fichier:Ferdinand_buisson_.jpg|150px|right|thumb|Ferdinand Buisson]]
Ferdinand Buisson a été le président de l'Association nationale des libres penseurs. En 1905, il préside la commission parlementaire chargée de mettre en œuvre la séparation des Églises et de l'État. Célèbre pour son combat en faveur d'un enseignement laïque à travers la Ligue de l'enseignement, fonctionnaire, député radical, proche de Jules Ferry<ref>[[avenue Jules Ferry]]</ref>, il a créé le mot « laïcité ».
Ferdinand Buisson a été le président de l'Association nationale des libres penseurs. En 1905, il préside la commission parlementaire chargée de mettre en œuvre la séparation des Églises et de l'État. Célèbre pour son combat en faveur d'un enseignement laïque à travers la Ligue de l'enseignement, fonctionnaire, député radical, proche de Jules Ferry<ref>[[avenue Jules Ferry]]</ref>, il a créé le mot « laïcité ».


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