« Rue de Corbin » : différence entre les versions

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De l'autre côté on admire, autour d'une cour, le bel hôtel militaire "Corbin"<ref>L'hôtel de Châteaugiron, ou "Corbin": http://www.rennes.maville.com/actu/actuphoto.php?idCla=31&idDoc=429480&idPho=676972&prov=</ref>, d'abord dénommé ''hôtel de Boisgeffroi'' puis ''hôtel de Châteaugiron'' du nom de ses propriétaires successifs, et acheté, sous le Second Empire, par la princesse Napoléone-Elisa Bacciochi, nièce de Napoléon Ier. Il était devenu, au 20e siècle, siège du quartier général du 10e corps d'armée et sera le siège du commandant de la garnison allemande pendant la seconde guerre mondiale<ref>Un article sur l'hôtel militaire: http://www.ouest-france.fr/bretagne/rennes-35000/decouvrir-lhotel-militaire-corbin-rennes-3703666</ref>. Il est inscrit aux monuments historiques depuis 1967.
De l'autre côté on admire, autour d'une cour, le bel hôtel militaire "Corbin"<ref>L'hôtel de Châteaugiron, ou "Corbin": http://www.rennes.maville.com/actu/actuphoto.php?idCla=31&idDoc=429480&idPho=676972&prov=</ref>, d'abord dénommé ''hôtel de Boisgeffroi'' puis ''hôtel de Châteaugiron'' du nom de ses propriétaires successifs, et acheté, sous le Second Empire, par la princesse Napoléone-Elisa Bacciochi, nièce de Napoléon Ier. Il était devenu, au 20e siècle, siège du quartier général du 10e corps d'armée et sera le siège du commandant de la garnison allemande pendant la seconde guerre mondiale<ref>Un article sur l'hôtel militaire: http://www.ouest-france.fr/bretagne/rennes-35000/decouvrir-lhotel-militaire-corbin-rennes-3703666</ref>. Il est inscrit aux monuments historiques depuis 1967.
{{Citation|texte=''De tous les vieux hôtels parlementaires de l'antique '''rue de Corbin''' - (elle est mentionnée dans les annales rennaises dès 1397) - le plus imposant est bien celui où est établi le quartier général du Xe Corps d'Armée. Il se compose de deux constructions en retour d'équerre contenant un rez-de-chaussée et un étage. Le bâtiment principal comprend un pavillon central légèrement en saillie, avec deux ouvertures par étage, accoté à l'Ouest de deux et à l'Est de trois ouvertures, avec des clefs de voûte sculptées. Son toit est coupé au-dessus du pavillon central, par un fronton triangulaire, percé d'un œil-de-bœuf circulaire qu'encadrent deux branches de chêne et deux guirlandes de fruits liées au sommet par un ruban. Le deuxième bâtiment présente cinq ouvertures par étage, avec un toit à la Mansard et quatre gerbières avec anse de panier ; il possède du côté de la rue un fronton arrondi percé d'un œil-de-bœuf. Le jardin, avec ses hautes futaies, s'étend au Sud jusqu'à la [[rue des Francs-Bourgeois]]... Avant de s'appeler l'Hôtel du Corps d'Armée, il s'est appelé, au cours des âges, l'hôtel Barrin du Boisgeffroy, l'hôtel de Lézonnet, l'hôtel de Châteaugiron, suivant les propriétaires qui l'habitèrent.''|auteur=L'Ouest-Eclair|origine=Numéro du 10 mai 1934|collecteur=Manu35|date=2018}}
{{Citation|texte=''De tous les vieux hôtels parlementaires de l'antique '''rue de Corbin''' - (elle est mentionnée dans les annales rennaises dès 1397) - le plus imposant est bien celui où est établi le quartier général du Xe Corps d'Armée. Il se compose de deux constructions en retour d'équerre contenant un rez-de-chaussée et un étage. Le bâtiment principal comprend un pavillon central légèrement en saillie, avec deux ouvertures par étage, accoté à l'Ouest de deux et à l'Est de trois ouvertures, avec des clefs de voûte sculptées. Son toit est coupé au-dessus du pavillon central, par un fronton triangulaire, percé d'un œil-de-bœuf circulaire qu'encadrent deux branches de chêne et deux guirlandes de fruits liées au sommet par un ruban. Le deuxième bâtiment présente cinq ouvertures par étage, avec un toit à la Mansard et quatre gerbières avec anse de panier ; il possède du côté de la rue un fronton arrondi percé d'un œil-de-bœuf. Le jardin, avec ses hautes futaies, s'étend au Sud jusqu'à la [[rue des Francs-Bourgeois]]... Avant de s'appeler l'Hôtel du Corps d'Armée, il s'est appelé, au cours des âges, l'hôtel Barrin du Boisgeffroy, l'hôtel de Lézonnet, l'hôtel de Châteaugiron, suivant les propriétaires qui l'habitèrent.''|auteur=L'Ouest-Eclair|origine=Numéro du 10 mai 1934|collecteur=Manu35|date=2018}}
[[File:Rennes Hôtel de Boisgeffroi-04.JPG|300px|right|thumb|Devant l'Hôtel de Boisgeffroi, la plaque de marbre sans faute d'orthographe, donc: "quoi qu'il arrive..."]]  
[[File:Rennes Hôtel de Boisgeffroi-04.JPG|450px|right|thumb|Devant l'Hôtel de Boisgeffroi, la plaque de marbre sans faute d'orthographe, donc: "quoi qu'il arrive..."]]  
[[File:Rennes_H%C3%B4tel_de_Boisgeffroi-01.JPG|200px|left|thumb|Hôtel de Boisgeffroi]]
[[File:Rennes_H%C3%B4tel_de_Boisgeffroi-01.JPG|200px|left|thumb|Hôtel de Boisgeffroi]]
[[Fichier:Parc_de_l%27h%C3%B4tel_de_Corbin.png|250px|right|thumb|Le petit parc de l'hôtel de Châteaugiron]]
[[Fichier:Parc_de_l%27h%C3%B4tel_de_Corbin.png|250px|right|thumb|Le petit parc de l'hôtel de Châteaugiron]]
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