« Rue de l'Alma » : différence entre les versions

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== Le chemin vicinal n°59 devient la rue de l'Alma<ref>Réalisé à partir des panneaux de l'exposition ''La rue de l'Alma d'hier à aujourd'hui'', conçue et réalisée par la direction de la communication de la Ville de Rennes, présentée à partir d'octobre [[2010]], rue de l'Alma, face à l'arrêt de [[métro Jacques Cartier]]</ref> ==
== Le chemin vicinal n°59 devient la rue de l'Alma<ref>Réalisé à partir des panneaux de l'exposition ''La rue de l'Alma d'hier à aujourd'hui'', conçue et réalisée par la direction de la communication de la Ville de Rennes, présentée à partir d'octobre [[2010]], rue de l'Alma, face à l'arrêt de [[métro Jacques Cartier]]</ref> ==


Le prolongement de la rue de l’Alma au sud de la [[rue Ginguené]] est réalisé à l’initiative de Monsieur Poinçon de la Blanchardière, propriétaire de terrains situés au sud de la prison. Entre [[1907]] et [[1911]], il fait plusieurs propositions d’offre ou d’échange de terrains à la Ville de Rennes pour le prolongement de la rue jusqu’au [[boulevard Jacques Cartier]], donnant ainsi un accès direct du boulevard au centre-ville. La proposition « ne présentant pas un caractère d’urgence absolue », comme l’indique le maire dans son rapport au conseil municipal, elle sera rejetée jusqu’au moment où l’on projette la construction d’une caserne, [[boulevard Jacques Cartier]]. Dès lors, « la construction d’un quartier de cavalerie au bord du boulevard […] donne au prolongement de la rue de l’Alma jusqu’à ce boulevard, un caractère de nécessité absolue » (Délibération de conseil municipal du 29 avril [[1911]]).
Le prolongement de la rue de l’Alma au sud de la [[rue Ginguené]] est réalisé à l’initiative de Monsieur Poinçon de la Blanchardière, propriétaire de terrains situés au sud de la prison. Entre [[1907]] et [[1911]], il fait plusieurs propositions d’offre ou d’échange de terrains à la Ville de Rennes pour le prolongement de la rue jusqu’au [[boulevard Jacques Cartier]], donnant ainsi un accès direct du boulevard au centre-ville.
{{Citation|texte=''Le Conseil [...] rejette, pour raisons budgétaires la demande de M. de la Blanchardière, propriétaire de terrains entre la [[rue de l'Alma]] et le '''boulevard Jacques-Cartier''', demandant que soit prolongée en ligne droite la rue de l'Alma de façon à relier le dit boulevard au centre de la ville.''|auteur=L'Ouest-Eclair|origine=Numéro du 4 février 1908|collecteur=Manu35|date=2018}}
 
La proposition « ne présentant pas un caractère d’urgence absolue », comme l’indique le maire dans son rapport au conseil municipal, elle sera rejetée jusqu’au moment où l’on projette la construction d’une caserne, [[boulevard Jacques Cartier]]. Dès lors, « la construction d’un quartier de cavalerie au bord du boulevard […] donne au prolongement de la rue de l’Alma jusqu’à ce boulevard, un caractère de nécessité absolue » (Délibération de conseil municipal du 29 avril [[1911]]).


Le prolongement de la rue de l’Alma (chemin vicinal ordinaire n° 59) entre la [[rue Ginguené]] et le [[chemin rural de la Boulais]] avec une largeur de 16 mètres entre son origine et le [[boulevard Jacques Cartier]] et de 12 mètres entre ce dernier point et le chemin de la Boulais est déclaré d’utilité publique.
Le prolongement de la rue de l’Alma (chemin vicinal ordinaire n° 59) entre la [[rue Ginguené]] et le [[chemin rural de la Boulais]] avec une largeur de 16 mètres entre son origine et le [[boulevard Jacques Cartier]] et de 12 mètres entre ce dernier point et le chemin de la Boulais est déclaré d’utilité publique.
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