« Unité de Commandement des systèmes d'information et de communication de l'armée » : différence entre les versions

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L'École est arrivée de Pontoise à Cesson-Sévigné en 1973, inaugurée le 13 octobre par Pierre Messmer, premier ministre, dans des bâtiments construits à partir d'octobre 1971 sur 25 hectares aux ''buttes de Coësmes'', pour former des sous-officiers et des officiers à l'électronique puis à l'informatique. Elle délivrait initialement un diplôme d'ingénieur. Le quartier reçoit le nom de ''Leschi'', le général  Marien leschi ayant été un des fondateurs de la télévision française. En 1981 l'insigne de l'école prend les armes de Cesson-Sévigné.
L'École est arrivée de Pontoise à Cesson-Sévigné en 1973, inaugurée le 13 octobre par Pierre Messmer, premier ministre, dans des bâtiments construits à partir d'octobre 1971 sur 25 hectares aux ''buttes de Coësmes'', pour former des sous-officiers et des officiers à l'électronique puis à l'informatique. Elle délivrait initialement un diplôme d'ingénieur. Le quartier reçoit le nom de ''Leschi'', le général  Marien Leschi ayant été un des fondateurs de la télévision française. En 1981 l'insigne de l'école prend les armes de Cesson-Sévigné.


Le Ier septembre 1994, l'école supérieure de l'électronique de l'armée (ESEAT) regroupe à Cesson-Sévigné et à Laval l'école d'application des transmissions de Montargis et l'école des sous-officiers d'active d'Agen. Depuis 2009, le nom est: '''''École des transmissions''''' qui entre, en 2013, dans le contexte de la cyberdéfense, avec un effectif de 410 permanents pour recevoir 3200 stagiaires par an. <ref>Ouest-France, 23 mai 2013</ref>  Elle  forme du personnel militaire et civil de l'armée de Terre, ainsi que des personnels des autres armées et du ministère de la défense dans les domaines des systèmes d'information et de communications (SIC) et du renseignement guerre électronique (RGE).
Le 1er septembre 1994, l'école supérieure de l'électronique de l'armée (ESEAT) regroupe à Cesson-Sévigné et à Laval l'école d'application des transmissions de Montargis et l'école des sous-officiers d'active d'Agen. Depuis 2009, le nom est: '''''École des transmissions''''' qui entre, en 2013, dans le contexte de la cyberdéfense, avec un effectif de 410 permanents pour recevoir 3200 stagiaires par an. <ref>Ouest-France, 23 mai 2013</ref>  Elle  forme du personnel militaire et civil de l'armée de Terre, ainsi que des personnels des autres armées et du ministère de la défense dans les domaines des systèmes d'information et de communications (SIC) et du renseignement guerre électronique (RGE).


Dans le cadre de la Défense européenne l’école effectue des jumelages et des échanges de cadres et de stagiaires avec les écoles de transmissions allemande et britannique. Elle entretient des liens privilégiés avec les écoles de transmissions espagnole, italienne, américaine et hongroise. Elle accueille chaque année plus de 70 stagiaires originaires de pays amis de la France.
Dans le cadre de la défense européenne l’école effectue des jumelages et des échanges de cadres et de stagiaires avec les écoles de transmissions allemande et britannique. Elle entretient des liens privilégiés avec les écoles de transmissions espagnole, italienne, américaine et hongroise. Elle accueille chaque année plus de 70 stagiaires originaires de pays amis de la France.


Le [[musée des transmissions "Espace Ferrié"]] implanté à côté de l'Ecole, offre aux visiteurs une intéressante présentation de l'évolution des transmissions dans les domaines militaire et civil.
Le [[musée des transmissions "Espace Ferrié"]] implanté à côté de l'Ecole, offre aux visiteurs une intéressante présentation de l'évolution des transmissions dans les domaines militaire et civil.

Version du 17 juin 2015 à 09:55


L'École est arrivée de Pontoise à Cesson-Sévigné en 1973, inaugurée le 13 octobre par Pierre Messmer, premier ministre, dans des bâtiments construits à partir d'octobre 1971 sur 25 hectares aux buttes de Coësmes, pour former des sous-officiers et des officiers à l'électronique puis à l'informatique. Elle délivrait initialement un diplôme d'ingénieur. Le quartier reçoit le nom de Leschi, le général Marien Leschi ayant été un des fondateurs de la télévision française. En 1981 l'insigne de l'école prend les armes de Cesson-Sévigné.

Le 1er septembre 1994, l'école supérieure de l'électronique de l'armée (ESEAT) regroupe à Cesson-Sévigné et à Laval l'école d'application des transmissions de Montargis et l'école des sous-officiers d'active d'Agen. Depuis 2009, le nom est: École des transmissions qui entre, en 2013, dans le contexte de la cyberdéfense, avec un effectif de 410 permanents pour recevoir 3200 stagiaires par an. [1] Elle forme du personnel militaire et civil de l'armée de Terre, ainsi que des personnels des autres armées et du ministère de la défense dans les domaines des systèmes d'information et de communications (SIC) et du renseignement guerre électronique (RGE).

Dans le cadre de la défense européenne l’école effectue des jumelages et des échanges de cadres et de stagiaires avec les écoles de transmissions allemande et britannique. Elle entretient des liens privilégiés avec les écoles de transmissions espagnole, italienne, américaine et hongroise. Elle accueille chaque année plus de 70 stagiaires originaires de pays amis de la France.

Le musée des transmissions "Espace Ferrié" implanté à côté de l'Ecole, offre aux visiteurs une intéressante présentation de l'évolution des transmissions dans les domaines militaire et civil.

La DGA-MI, direction générale de l'armement, maîtrise de l'information, implantée de longue date à Bruz (1200 ingénieurs et techniciens) et l'École des transmissions de Cesson-Sévigné font de l'agglomération rennaise une zone d'implantation essentielle à la Défense nationale.

références

  1. Ouest-France, 23 mai 2013

lien interne

la DGA-MI