« Clinique Saint-Yves » : différence entre les versions

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=== Une origine ancienne en rive nord de la Vilaine===
=== Une origine ancienne en rive nord de la Vilaine===
L’histoire de la clinique Saint-Yves remonte à [[1358]], date à laquelle le Chanoine Le Bouteiller<ref>[[rue Le Bouteiller]]</ref> fonda la ''Maison-Dieu Saint-Yves'', à Rennes, au bord de la [[Vilaine]];  il n'en reste que la [[chapelle Saint-Yves]]. Ce fut l’hôpital Saint-Yves jusqu’en [[1858]] transféré alors à l’actuel Hôtel-Dieu.
L’histoire de la clinique Saint-Yves remonte à [[1358]], date à laquelle le Chanoine Le Bouteiller<ref>[[rue Le Bouteiller]]</ref> fonda la ''Maison-Dieu Saint-Yves'', à Rennes, au bord de la [[Vilaine]];  il n'en reste que la [[chapelle Saint-Yves]]. Ce fut l’hôpital Saint-Yves jusqu’en [[1858]] transféré alors à l’actuel Hôtel-Dieu.<ref>[[ rue de l'Hôtel Dieu]]</ref>


L'ensemble représentait, en [[1636]], un quadrilatère complet d'environ 40 m de côté, 220 malades y trouvaient leur place. En [[1644]], tout n’allait pas pour le mieux à l’hôpital : il venait à peine de sortir de l’épidémie de [[la peste à Rennes]] qui sévit de 1553 à 1640 à l’état endémique. La discipline intérieure s’était relâchée. À l’arrivée des sœurs, les « Sieurs députez » de la ville de Rennes mirent leurs conditions et dans un accord signé les sœurs reconnaissaient que « toutes leurs fonctions étaient de soulager, servir et soigner les malades en qualité d’humbles servantes des membres de Notre Seigneur. »
L'ensemble représentait, en [[1636]], un quadrilatère complet d'environ 40 m de côté, 220 malades y trouvaient leur place. En [[1644]], tout n’allait pas pour le mieux à l’hôpital : il venait à peine de sortir de l’épidémie de [[la peste à Rennes]] qui sévit de 1553 à 1640 à l’état endémique. La discipline intérieure s’était relâchée. À l’arrivée des sœurs, les « Sieurs députez » de la ville de Rennes mirent leurs conditions et dans un accord signé les sœurs reconnaissaient que « toutes leurs fonctions étaient de soulager, servir et soigner les malades en qualité d’humbles servantes des membres de Notre Seigneur. »
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