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L'ensemble représentait, en [[1636]], un quadrilatère complet d'environ 40 m de côté, 220 malades y trouvaient leur place. En [[1644]], tout n'allait pas pour le mieux à l'hôpital : il venait à peine de sortir de l'épidémie de [[la peste à Rennes]] qui sévit de 1553 à 1640 à l'état endémique. La discipline intérieure s'était relâchée. À l'arrivée des sœurs, les « Sieurs députez » de la ville de Rennes mirent leurs conditions et dans un accord signé les sœurs reconnaissaient que « toutes leurs fonctions étaient de soulager, servir et soigner les malades en qualité d'humbles servantes des membres de Notre Seigneur. » | L'ensemble représentait, en [[1636]], un quadrilatère complet d'environ 40 m de côté, 220 malades y trouvaient leur place. En [[1644]], tout n'allait pas pour le mieux à l'hôpital : il venait à peine de sortir de l'épidémie de [[la peste à Rennes]] qui sévit de 1553 à 1640 à l'état endémique. La discipline intérieure s'était relâchée. À l'arrivée des sœurs, les « Sieurs députez » de la ville de Rennes mirent leurs conditions et dans un accord signé les sœurs reconnaissaient que « toutes leurs fonctions étaient de soulager, servir et soigner les malades en qualité d'humbles servantes des membres de Notre Seigneur. » | ||
=== Les sœurs | === Les sœurs augustines hospitalières=== | ||
'''Avant la Révolution''' | '''Avant la Révolution''' | ||
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<ref> ''Rennes en 1800'' audience solennelle de la cour d'appel de Rennes, du 16 octobre 1900, discours de M. Denier, avocat général Imprimerie rennaise, 5 rue Bourbon</ref> | <ref> ''Rennes en 1800'' audience solennelle de la cour d'appel de Rennes, du 16 octobre 1900, discours de M. Denier, avocat général Imprimerie rennaise, 5 rue Bourbon</ref> | ||
Les sœurs reprirent leur vie communautaire de prière et de service des pauvres et des malades. En vue de permettre l'achèvement de la ligne des quais, la translation de cet hospice eut lieu le 21 novembre 1858, au nouvel Hôtel-Dieu construit au nord-ouest de Rennes. | L’assistance à domicile fonctionnait déjà à Rennes ; ce service dénommé « la Marmite des Pauvres », sous la direction des ci-devant Sœurs Grises, et sous la surveillance de la Commission de bienfaisance, secourait un nombre considérable d’indigents.Les sœurs reprirent leur vie communautaire de prière et de service des pauvres et des malades. En vue de permettre l'achèvement de la ligne des quais, la translation de cet hospice eut lieu le 21 novembre 1858, au nouvel Hôtel-Dieu construit au nord-ouest de Rennes. | ||
[[Fichier:Clinique_Saint-Yves.png|450px|left|thumb|Vue de la clinique Saint-Yves (à gauche, la rue Adolphe Leray)]] | [[Fichier:Clinique_Saint-Yves.png|450px|left|thumb|Vue de la clinique Saint-Yves (à gauche, la rue Adolphe Leray)]] | ||
== Références == | == Références == |
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