« " À Rennes, rien ne prend, sauf le feu " » : différence entre les versions
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Monseigneur Brossais -Saint-Marc, archevêque de Rennes, accrut la renommée de ce dicton en le reprenant vers 1860. | [[Monseigneur Brossais -Saint-Marc]], archevêque de Rennes, accrut la renommée de ce dicton en le reprenant vers [[1860]]. | ||
On retrouve ce dicton repris assez régulièrement dans l'histoire locale, à l'occasion d'incendies dont voici quelques exemples : | On retrouve ce dicton repris assez régulièrement dans l'histoire locale, à l'occasion d'incendies dont voici quelques exemples : | ||
- l'ancienne église Toussaints ( frimaire an II) | - l'ancienne église Toussaints (frimaire an II) | ||
- le théâtre ( 1856) | - le théâtre ([[1856]]) | ||
- le palais du Commerce ( 1911) | - le palais du Commerce ([[1911]]) | ||
- le palais Saint-Georges ( 1921) | - le palais Saint-Georges ([[1921]]) | ||
- le cinéma Pathé, ancien couvent des Calvairiennes ( 1931) | - le cinéma Pathé, ancien [[couvent des Calvairiennes|couvent des Calvairiennes]] ([[1931]]) | ||
- le palais du Parlement ( nuit du 4 au 5 février 1994) | - le [[Parlement de Bretagne|palais du Parlement]] ([[Événements des 4 et 5 février 1994|nuit du 4 au 5 février]] [[1994]]) | ||
- immeuble de la CRAM Bretagne ( 19 juillet 2006) | - immeuble de la CRAM Bretagne (19 juillet [[2006]]) | ||
- immeuble rue d'Orléans, trois morts ( 21 septembre 2007) | - immeuble [[rue d'Orléans]], trois morts (21 septembre [[2007]]) | ||
- immeubles place Saint-Michel ( nuit du 21 au 22 juin 2010) | - immeubles [[place Saint-Michel]] (nuit du 21 au 22 juin [[2010]]) | ||
Cette liste non exhaustive ne doit pas, pour autant, faire penser que le dicton aurait, à Rennes, un fondement plus vérifiable que dans bien des villes. | Cette liste non exhaustive ne doit pas, pour autant, faire penser que le dicton aurait, à Rennes, un fondement plus vérifiable que dans bien des villes. | ||
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Version du 17 mars 2011 à 15:54
"À Rennes, rien ne prend sauf le feu" est un dicton populaire local d'abord apparu à la suite à l'incendie de 1720, qui avait ravagé la ville, laissant un habitant sur trois sans logement.
Monseigneur Brossais -Saint-Marc, archevêque de Rennes, accrut la renommée de ce dicton en le reprenant vers 1860.
On retrouve ce dicton repris assez régulièrement dans l'histoire locale, à l'occasion d'incendies dont voici quelques exemples :
- l'ancienne église Toussaints (frimaire an II)
- le théâtre (1856)
- le palais du Commerce (1911)
- le palais Saint-Georges (1921)
- le cinéma Pathé, ancien couvent des Calvairiennes (1931)
- le palais du Parlement (nuit du 4 au 5 février 1994)
- immeuble de la CRAM Bretagne (19 juillet 2006)
- immeuble rue d'Orléans, trois morts (21 septembre 2007)
- immeubles place Saint-Michel (nuit du 21 au 22 juin 2010)
Cette liste non exhaustive ne doit pas, pour autant, faire penser que le dicton aurait, à Rennes, un fondement plus vérifiable que dans bien des villes.