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<big>[[Né à l'hôpital psychiatrique de Saint-Méen]]</big>
<big>[[Guinguettes de Cesson-Sévigné]]</big>


Je suis né à l'hôpital psychiatrique, car après la guerre mon père y est entré en tant que jardinier. Ma mère l'a suivi, laissant la ferme familiale à son frère qui était maréchal ferrant.
Les traditionnelles guinguettes du dimanche de Cesson-Sévigné étaient très fréquentées par les rennais jusqu'aux années 1960.


L'hôpital psychiatrique de Saint-Méen était une vraie ville dans la ville, on y retrouvait tous les corps de métier : il y avait la ferme avec ses animaux, un boulanger, un tailleur, etc.
D'anciens rennais se souviennent qu'ils se rendaient à Cesson-Sévigné chaque dimanche avec les baladeuses, trains ouverts, depuis la place Croix-de-la-mission ou Saint-Cyr.


[[Né à l'hôpital psychiatrique de Saint-Méen|Lire la suite]]
[[Guinguettes de Cesson-Sévigné|Lire la suite]]


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<big>[[Souvenirs de mes 8 ans en 1943]]</big>
<big>[[Rue de la Courrouze]]</big>
[[Fichier:Rennes Rue de la Courrouze fete 2013.jpg|200px|right]]


Je suis né à Cesson-Sévigné, mes parents étaient agriculteurs. Ils ont déménagé de Cesson durant la guerre, en 1941, pour habiter Moigné, une commune de 305 habitants.
La rue de la Courrouze est une petite rue du sud-ouest de Rennes à laquelle on accède principalement au sud par le boulevard Jean Mermoz.


La ferme de mes parents se situait dans l'alignement des pistes de Saint-Jacques-de-la-Lande pendant les bombardements de 1943.
[[Né à l'hôpital psychiatrique de Saint-Méen|Lire la suite]]
 
[[Souvenirs de mes 8 ans en 1943|Lire la suite]]


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<big>[[Août 1914, Rennes entre en guerre]]</big>
<big>[[Camp Victor Rault - Installation - l'Ecole n°23]]</big>


1er août : ordre de mobilisation générale
Le chef de famille est résolu à rendre notre vie la moins inconfortable possible dans ce camp ouvert, ouvert même à tous les vents.
Une petite cuisinière en fonte fonctionnant au charbon est installée. Elle servira à faire cuire les aliments et constituera notre unique moyen de chauffage. Le grand espace qui nous est dévolu sera séparé en deux. Une partie deviendra tout à la fois cuisine, salle à manger, salon, salle de bain symbolisée par un tub et cellier où sera rangé le vélo. C’est en quelque sorte un loft.


3 : l'Allemagne déclare la guerre à la France
[[Camp Victor Rault - Installation - l'Ecole n°23|Lire la suite]]


4 : l'armée allemande pénètre en Belgique
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16 : les forts de Lège tombent
 
19 : le roi Albert donne l'ordre de repli des troupes belges sur Anvers. Les Français prennent Mulhouse


21: les Français perdent Sarrebourg qu'ils avaient conquis
<big>[[Armistice à Rennes : 11 novembre 1918]]</big>


26 : Namur est prise par les Allemands
Rennes en fête pour saluer l'armistice
Tel était le titre de l'article de l'Ouest-Eclair du 12 novembre 1918 pour relater comment la nouvelle de l'armistice fut reçue à Rennes, non sans avoir rappelé qu'une telle unanimité ne s'était pas vue depuis le 1er août 1914[1], à l'aube d'une guerre qui allait entraîner séparations, sacrifices et deuils.


[[Août 1914, Rennes entre en guerre|Lire la suite]]
[[Armistice à Rennes : 11 novembre 1918|Lire la suite]]


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<big>[[Septembre 1914 à Rennes]]</big>
<big>[[à l'hôpital psychiatrique de Saint-Méen]]</big>


2 septembre : le gouvernement décide de se transporter à Bordeaux - Gallieni organise la défense de Paris.
Je suis né à l'hôpital psychiatrique, car après la guerre mon père y est entré en tant que jardinier. Ma mère l'a suivi, laissant la ferme familiale à son frère qui était maréchal ferrant.


6 : contre-offensive française sur la Marne et, le 7, réquisition des taxis Renault G 7.
L'hôpital psychiatrique de Saint-Méen était une vraie ville dans la ville, on y retrouvait tous les corps de métier : il y avait la ferme avec ses animaux, un boulanger, un tailleur, etc.


9 : le général en chef von Moltke retire son armée sur l'Aisne.
[[Né à l'hôpital psychiatrique de Saint-Méen|Lire la suite]]
 
20 : la cathédrale de Reims est bombardée et gravement endommagée.
 
23 : offensive allemande en forêt d'Argonne et les Allemands prennent Varennes.
 
[[Septembre 1914 à Rennes|Lire la suite]]


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Version du 23 juillet 2013 à 17:03

Guinguettes de Cesson-Sévigné

Les traditionnelles guinguettes du dimanche de Cesson-Sévigné étaient très fréquentées par les rennais jusqu'aux années 1960.

D'anciens rennais se souviennent qu'ils se rendaient à Cesson-Sévigné chaque dimanche avec les baladeuses, trains ouverts, depuis la place Croix-de-la-mission ou Saint-Cyr.

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Rue de la Courrouze

Rennes Rue de la Courrouze fete 2013.jpg

La rue de la Courrouze est une petite rue du sud-ouest de Rennes à laquelle on accède principalement au sud par le boulevard Jean Mermoz.

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Camp Victor Rault - Installation - l'Ecole n°23

Le chef de famille est résolu à rendre notre vie la moins inconfortable possible dans ce camp ouvert, ouvert même à tous les vents. Une petite cuisinière en fonte fonctionnant au charbon est installée. Elle servira à faire cuire les aliments et constituera notre unique moyen de chauffage. Le grand espace qui nous est dévolu sera séparé en deux. Une partie deviendra tout à la fois cuisine, salle à manger, salon, salle de bain symbolisée par un tub et cellier où sera rangé le vélo. C’est en quelque sorte un loft.

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Armistice à Rennes : 11 novembre 1918

Rennes en fête pour saluer l'armistice Tel était le titre de l'article de l'Ouest-Eclair du 12 novembre 1918 pour relater comment la nouvelle de l'armistice fut reçue à Rennes, non sans avoir rappelé qu'une telle unanimité ne s'était pas vue depuis le 1er août 1914[1], à l'aube d'une guerre qui allait entraîner séparations, sacrifices et deuils.

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Né à l'hôpital psychiatrique de Saint-Méen

Je suis né à l'hôpital psychiatrique, car après la guerre mon père y est entré en tant que jardinier. Ma mère l'a suivi, laissant la ferme familiale à son frère qui était maréchal ferrant.

L'hôpital psychiatrique de Saint-Méen était une vraie ville dans la ville, on y retrouvait tous les corps de métier : il y avait la ferme avec ses animaux, un boulanger, un tailleur, etc.

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