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Les traditionnelles guinguettes du dimanche de Cesson-Sévigné étaient très fréquentées par les rennais jusqu'aux années 1960. | |||
D'anciens rennais se souviennent qu'ils se rendaient à Cesson-Sévigné chaque dimanche avec les baladeuses, trains ouverts, depuis la place Croix-de-la-mission ou Saint-Cyr. | |||
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La rue de la Courrouze est une petite rue du sud-ouest de Rennes à laquelle on accède principalement au sud par le boulevard Jean Mermoz. | |||
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Le chef de famille est résolu à rendre notre vie la moins inconfortable possible dans ce camp ouvert, ouvert même à tous les vents. | |||
Une petite cuisinière en fonte fonctionnant au charbon est installée. Elle servira à faire cuire les aliments et constituera notre unique moyen de chauffage. Le grand espace qui nous est dévolu sera séparé en deux. Une partie deviendra tout à la fois cuisine, salle à manger, salon, salle de bain symbolisée par un tub et cellier où sera rangé le vélo. C’est en quelque sorte un loft. | |||
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<big>[[Armistice à Rennes : 11 novembre 1918]]</big> | |||
Rennes en fête pour saluer l'armistice | |||
Tel était le titre de l'article de l'Ouest-Eclair du 12 novembre 1918 pour relater comment la nouvelle de l'armistice fut reçue à Rennes, non sans avoir rappelé qu'une telle unanimité ne s'était pas vue depuis le 1er août 1914[1], à l'aube d'une guerre qui allait entraîner séparations, sacrifices et deuils. | |||
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Je suis né à l'hôpital psychiatrique, car après la guerre mon père y est entré en tant que jardinier. Ma mère l'a suivi, laissant la ferme familiale à son frère qui était maréchal ferrant. | |||
L'hôpital psychiatrique de Saint-Méen était une vraie ville dans la ville, on y retrouvait tous les corps de métier : il y avait la ferme avec ses animaux, un boulanger, un tailleur, etc. | |||
[[Né à l'hôpital psychiatrique de Saint-Méen|Lire la suite]] | |||
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Version du 23 juillet 2013 à 17:03
Les traditionnelles guinguettes du dimanche de Cesson-Sévigné étaient très fréquentées par les rennais jusqu'aux années 1960.
D'anciens rennais se souviennent qu'ils se rendaient à Cesson-Sévigné chaque dimanche avec les baladeuses, trains ouverts, depuis la place Croix-de-la-mission ou Saint-Cyr.
La rue de la Courrouze est une petite rue du sud-ouest de Rennes à laquelle on accède principalement au sud par le boulevard Jean Mermoz.
Camp Victor Rault - Installation - l'Ecole n°23
Le chef de famille est résolu à rendre notre vie la moins inconfortable possible dans ce camp ouvert, ouvert même à tous les vents. Une petite cuisinière en fonte fonctionnant au charbon est installée. Elle servira à faire cuire les aliments et constituera notre unique moyen de chauffage. Le grand espace qui nous est dévolu sera séparé en deux. Une partie deviendra tout à la fois cuisine, salle à manger, salon, salle de bain symbolisée par un tub et cellier où sera rangé le vélo. C’est en quelque sorte un loft.
Armistice à Rennes : 11 novembre 1918
Rennes en fête pour saluer l'armistice Tel était le titre de l'article de l'Ouest-Eclair du 12 novembre 1918 pour relater comment la nouvelle de l'armistice fut reçue à Rennes, non sans avoir rappelé qu'une telle unanimité ne s'était pas vue depuis le 1er août 1914[1], à l'aube d'une guerre qui allait entraîner séparations, sacrifices et deuils.
Né à l'hôpital psychiatrique de Saint-Méen
Je suis né à l'hôpital psychiatrique, car après la guerre mon père y est entré en tant que jardinier. Ma mère l'a suivi, laissant la ferme familiale à son frère qui était maréchal ferrant.
L'hôpital psychiatrique de Saint-Méen était une vraie ville dans la ville, on y retrouvait tous les corps de métier : il y avait la ferme avec ses animaux, un boulanger, un tailleur, etc.