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Les États généraux de la culture

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Deuxième temps fort de la Fabrique Citoyenne, les États généraux de la culture se déroulent d'avril à l'automne 2015. Ils invitent acteurs culturels, artistes, professionnels de différents secteurs concernés par les enjeux culturels et habitants à échanger et à faire des propositions pour la culture à Rennes, demain. Plusieurs temps forts rythment la démarche et permettront de nourrir l'écriture d'un document partagé d'orientations et d'actions pour dessiner la vie et les politiques culturelles rennaises à venir. Ce document s’appuiera sur la réflexion déjà menée en 2012 avec les acteurs sur Le projet culturel de la Ville.

Présentation de la démarche

Les grandes étapes

Le lancement


Le lancement des États généraux de la culture a eu lieu le 2 avril aux Champs Libres, en séance plénière et le 3 avril, avec des ateliers à la Maison des Associations.
Ce premier temps de rencontre a permis de lancer les échanges et de présenter la démarche à l'ensemble des participants.

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Les ateliers des 29 et 30 avril ==== Sept ateliers thématiques se sont déroulés à la Maison des associations les 29 et 30 avril. Ils ont invités les participants à débattre sur des thématiques liées à des grands enjeux de société.
Thèmes des ateliers:

Culture et développement social
Culture, économie, emploi
Enseignements artistiques et éducation artistique et culturelle
Les usages numériques
Métropole de la connaissance
La culture et la ville
Rennes et le monde

Les ateliers du 24 au 30 juin


Du 24 au 30 juin, cinq ateliers et six cafés culturels organisés dans les six grands quartiers rennais permettront à chacun de prendre part au débat et de faire des propositions pour la culture à Rennes.

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Les cafés culturels ====
D'avril à mi-juillet, habitants, associations, structures… peuvent organiser un café culturel sur le thème de leur choix, lié à la culture.
Pour cela, il suffit d'avoir :

  • Une question ou une thématique liée à la culture,
  • Une date et un horaire
  • Un lieu pouvant accueillir au moins 5 personnes
  • Un animateur qui fera tourner équitablement la parole
  • Un compte rendu écrit de cette rencontre à transmettre à la Direction Générale de la Culture afin de le rendre public.
  • Et de la convivialité!

Un dépliant ainsi qu'un Pack café Culturel ont été mis en place pour accompagner la démarche.
Un site tumblr relaie également les différents contributions.

Autour de l'organisation des États généraux de la culture

Des consultants pour accompagner la démarche Pascale Bonniel Chalier et Éric Fourreau, fondateurs respectifs des agences de conseils en ingénierie culturelle "La Terre est ronde" et "L'Utile et l'Agréable" ont été choisis par la Ville de Rennes pour l'accompagner dans la construction et l’animation des différentes étapes de cette démarche. Garants de la méthode élaborée en concertation avec la Ville, ils auront en charge l'animation de l'ensemble des ateliers ainsi que la structuration des orientations et actions proposés dans le cadre des États généraux de la culture.
Le conseil des États généraux de la culture Pour l'accompagner dans cette démarche, la Ville de Rennes a constitué un Conseil des États généraux de la culture. Il s’agit d’une instance consultative chargée d'apporter des avis et une réflexion à partir des travaux menés tout au long de la démarche. Elle sera notamment appelée à se prononcer sur les rapports intermédiaires qui ponctueront les grandes phases des États généraux ainsi que sur le document final d'orientations et de propositions. Ce Conseil est composé d'une trentaine de personnes : experts des questions culturelles (universitaires, chercheurs, responsables culturels représentant la diversité du tissu culturel rennais, artistes), représentants des quartiers, des réseaux sociaux et d'éducation populaire et habitants.

Les cafés culturels des États généraux de la culture

D'avril à la mi-juillet, plusieurs cafés culturels, organisés par des personnes volontaires (habitants, associations, équipements, collectifs...) se sont tenus à Rennes, dans le cadre des États généraux de la culture. Vous trouverez dans cette rubrique les comptes rendus de ces rencontres, relatant les échanges de leurs participants.

Culture et vous ? - le 5 mai 2015

Fichier:Cafe culturel maurepas.jpg
Café Culturel "Culture et vous?" - le 5 mai

Informations générales :Initialement organisé en extérieur dans le cadre du programme d’animations socioculturelles du Centre social « Rendez-vous chez vous », le café culturel ré- intitulé à cette occasion l’arbre culturel s’est, suite au mauvais temps, finalement déroulé à l’association L’Atelier Culturel de Maurepas.

Lieu: Atelier Culturel de Maurepas 11, place du Gros-chêne 35700 Maurepas

Organisateurs: Centre social et Atelier Culturel de Maurepas

Nombre de participants: 15 (durée: 1h30)

Animateur: Olaf Malgras, ancien directeur de l’association rennaise des centres sociaux et actuel président de l’association Place des débats éditrice de la revue Place publique.

Objectif:'Laisser la parole aux habitants du quartier quant à leurs visions et leurs expériences  culturelles  en  la Ville de Rennes. Thématique  volontairement ouverte pour permettre à tous de s’exprimer librement.

Méthode: Olaf Malgras a organisé l’animation en trois temps autour de questions ciblées : « La Culture, c’est quoi ? », «La Culture en un mot » puis « Si j‘étais maire de Rennes, je … ». À la seconde et troisième questions posées, Olaf a invité les participants à répondre via l’écriture sur post-it.

  • « La Culture, c’est quoi ?»

Olaf a voulu interpeller les participants en posant cette question très ouverte en guise d’introduction à l’échange. Certains ont répondu, d’autres ont écouté.

Une personne s’est immédiatement inquiétée du fait que l’Atelier Culturel soit en pleine redéfinition de son projet, centré sur le livre, l’écrit et la lecture. En effet, les sorties culturelles collectives ne font à ce jour plus partie du programme d’actions de médiation. Cette même personne souligne alors l’importance de l’accompagnement vers les manifestations et au cœur même de celles-ci soulevant le nécessaire rôle du médiateur comme lien vers l’œuvre. La crainte d’être seule et de ne pas comprendre est abordée. Une autre personne poursuit ce même ressenti en accentuant le besoin d’amener les gens vers, de les sortir de et de leur faire découvrir des formes artistiques. La question qui se pose est donc celle de la médiation culturelle comme incontournable passerelle  vers  les  arts ? Intermédiaire sans  lequel  certaines personnes ne feraient pas l’expérience d’elles-mêmes.

À la suite de ce propos, un participant fait part du flou engendré par la profusion d’informations culturelles. L’offre étant tellement riche, il ne sait lui-même plus où aller. Lorsqu’il effectue alors le déplacement vers un évènement culturel, il a parfois la sensation d’un entre-soi pour acteurs du secteur et ne se sent, dans certains cas, pas forcément à l’aise.

Dans cette même sensation d’exclusivité, une participante exprime la présence d’un élitisme où il serait dicté à tous ce qui est bon et ce qui est mauvais en matière de culture. Elle complète son intervention en appuyant sur le fait que l’accès à la culture se choisit et que tout un chacun est à même de décider ce qu’il veut faire et expérimenter. Et la culture ne se définit, selon elle, pas au singulier, mais au pluriel de par la diversité des expressions.

Pour une autre personne, aller à la culture (théâtre, cinéma, exposition) est une réelle sortie, un temps fort. Elle déplore le fait que les personnes – y compris elle-même – ne s’apprêtent plus pour ces occasions.

  • « La Culture en un mot »

Chaque personne a noté un mot pour définir à sa façon la notion de « culture ». Olaf a ensuite rassemblé les post-it et invité les personnes à réagir ensemble sur chacun des mots proposés.

Échappée / Ailleurs : «Sortir de chez soi pour aller vers les autres / Possibilité de fuir son quotidien / Être curieux / Faire de la culture un voyage / Rêver / Quand on accède à la culture que l'on veut, on devient son propre véhicule »

Nourriture : «Nourriture de l’esprit / Chercher en soi ce que les autres expriment, apportent / Sans nourriture, on ne vit pas / Référence à la cuisine : chacun sa technique et ses goûts »

Ouverture (x2) : «Fenêtre sur l’inconnu, sur le nouveau / La culture sert à mieux se connaitre, il faut bien se connaitre pour aller vers les autres / Tolérance et laïcité »

Liberté (x2) : « Attentats de janvier / On choisit sa culture, on choisit ce que l'on aime et ce dont on se nourrit, ce que l'on est / Cultiver une ouverture d'esprit / Être libre de ses choix »

Découverte : « Aller vers des pays, des cultures inconnus / Se frotter à quelque chose que l’on ne connait pas forcément »

Bonheur : «La culture, ça fait du bien / La culture, c'est du plaisir / Oui, mais la culture c'est aussi parfois accepter d'être heurté(e) par ce que l'on voit, ce qu'on expérimente / La culture n'est pas forcément positive dans les sensations qu'elle procure / Le bonheur oui, mais avec des limites notamment lors de la confrontation avec de l'art contemporain où l’expérience me semble désagréable et où je peux me sentir « limitée » / Mais pourquoi penser que cette limite vient de vous? Pourquoi ne pas penser que cela vient de l'œuvre ? »

Curiosité : « Il n'y pas de culture sans curiosité, la curiosité est à la base de tout / Il faut savoir se bousculer et savoir être bousculé / Plus je connais, plus j'aime / Les médiateurs nous ouvrent les lieux, autant s’en saisir / Curiosité sous toutes ses formes notamment avec les séries télé »

Diversité : «Diversité des formes de cultures, mélanges et croisement des arts / Diversité (trop ?) d’offres culturelles à Rennes ne favorisant pas une identité globale »

Chemin : « La culture est un chemin, elle est faite de rencontres et d’expériences partagées (ou non) / Pour se familiariser à la culture, le rôle des autres est important, le contact humain est primordial / Le contact avec l'artiste est aussi toujours le bienvenu pour appréhender une œuvre / Disparition des bibliothécaires au profit de machines »

Émotion / Surprise :« La culture est émotion, c'est ce qui nous fait sentir toute sorte de sensations / Il est difficile d'être confronté à de l'art quand celui-ci ne nous procure pas d'émotions / Et ce  qui ne nous procure pas d'émotions, est-ce de la culture ? »

  • « Si j'étais maire de Rennes, je … »

À cette mise en situation, chaque participant a fait part de ses suggestions en matière  de  politique  culturelle  à  Rennes. Certains  s’y  retrouvent, d’autres souhaitent y apporter des changements, des compléments. Chaque participant a ainsi argumenté son point de vue.

Je continuerais   la   même   politique   culturelle.   Foisonnement   de propositions et d'offres culturelles, grands équipements (Champs Libres, Centres sociaux, Maisons de quartier, TNB, etc.), toutes les formes sont représentées. Globalement, les Rennais sont chanceux.

Continuez comme ça !

Je diminuerais la diffusion de visuels promotionnels et je favoriserais le travail des médiateurs culturels ainsi la relation avec les publics dans les bibliothèques (moins d’informatique pour plus d’échanges).

Je  réaffirmerais la  culture  comme  un service  public :  En  veillant  à maintenir les moyens financiers et en étant un service public de tous les publics. Expression d'une méfiance vis-à-vis du financement privé et du crowdfunfing (bonnes initiatives mais il faut éviter de se défausser sur ces moyens financiers).

Je redéfinirais les mots "artistique" et "culture": Distinction proposée entre la culture au sens anthropologique et l'artistique comme production

d'œuvre. Remarque  d'une  personne sur le  fait qu'on n'est pas tous capables de créer. Une personne exprime son désaccord et indique que nous sommes tous capables de créer et de faire preuve de créativité, mais il faut cultiver cette capacité dès le plus jeune âge (d’où le rôle de l’éducation à l'école, dès le plus jeune âge).

Je  financerais les  projets participatifs entre  amateurs,  habitants  et professionnels afin de pouvoir créer  ensemble (exemple de Fous de danse). Les pratiques amateurs ont la même valeur que les pratiques professionnelles, mais pas la même ambition.

Je répartirais les subventions autrement et les augmenterais pour les petites associations.

Je réinvestirais / Je permettrais que l’espace public soit plus largement investi, dans une dimension festive collective.

J’opterais pour plus de démocratie en consultant les habitants dans les programmations.

  • Ce qu’on en tire

Un temps de discussions et de convivialité. L’aspect libre et consultatif a été particulièrement apprécié (nombreux retours et remerciements de participants). L’Atelier Culturel et le Centre social ont fait usage de ce café culturel comme d’un outil pour renforcer le lien avec les habitants, mission centrale de leurs projets respectifs.

Crowdculture - le 20 mai 2015

Présentation générale de la rencontre: Plusieurs habitants de la métropole rennaise ont testé le financement participatif pour faire émerger des projets culturels et/ou artistiques dans le cadre de la "Dynamo Culturelle", opération lancée par Rennes Métropole en partenariat avec la plateforme de mécénat culturel participatif proarti. Avec d'autres acteurs rennais qui ont tenté l'aventure du crowdfunding, ils vous invitent à échanger sur ce nouveau mode de financement dont l'essor pose une multitude de questions.

Fichier:Dynamo culturelle.jpg
Café culturel "Crowdculture" - le 20 mai

Lieu: Opéra de Rennes

Organisateurs: Les artistes de la Dynamo culturelle en lien avec Proarti, plateforme de financement participatif

Nombre de participants: 16

  • Un tour de table a permis à chacun de se présenter :

-          La fabrique Opéra qui se lance dans un projet d'opéra réalisé par des lycéens qui se lancent dans la création des costumes, des décors, …. Ils ont participé à l'opération de La Dynamo Culturelle pour le projet de la Flûte Enchantée qu'ils souhaitent produire au Liberté de Rennes,

-          Barbara, une jeune étudiante en web marketing intéressée par le crowdfunding, un sujet d'actualités et un outil de marketing,

-          l'association Absala qui se lance dans le crowdfunding sur proarti avec un projet de flamenco et qui souhaite en savoir plus notamment sur les contreparties,

-          l'association Syndrome à Bascule, Anne Sophie et Chrystèle, qui ont un projet de danse contemporaine dans la rue, ont leur collecte qui stagne

-          Radio Campus Rennes

-          Rozenn de l'opéra qui vient de se lancer sur une opération de crowdfunding pour sa manifestation Opéra en dehors des murs

-          Christine Gautier, réalisatrice de films, souhaitent savoir si elle peut envisager l'usage du crowdfunding ou le proposer à ses artistes en résidences pour la réalisation de teaser. Elle est également donatrice pour le projet la Bobine 11004.

-          Raymond Pauley du TNB : la sollicitation croissante pour soutenir des campagnes de crowdfunding l'interroge sur la baisse des ressources publiques, si on doit considérer le crowdfunding comme un fond complémentaire ou comme un substitut.

-          2 personnes des Champs Libres

  • Les témoignages

Le café culturel des artistes de la Dynamo Culturelle s'est déroulé à l'image de leurs valeurs, le partage, la convivialité.                Les gens étaient au RDV pour "se former, s'informer", témoigner, échanger. Les uns ont témoigné de leur aventure réussie sur proarti, les autres viennent chercher les clés de la réussite avant de se lancer, le tout dans une grande transparence, je dirais, une grande simplicité. Une vingtaine de personnes s'est retrouvée : 4 porteurs de la Dynamo ont témoigné de leur expérience. Éric a géré sa collecte de main de maître :
Le témoignage d'Éric :  

-          a trouvé intéressant le croisement de ses réseaux : professionnel, amical, voisinage  

-          la stratégie d'Eric a consisté à utiliser en priorité le mail comme moyen de contact; il a envoyé un mail personnalisé aux 700 contacts de son carnet d'adresse (" une façon de reprendre le contact avec des personnes perdues de vue" dit il en souriant) 

-          il conseille de coupler sa campagne de crowdfunding a un sujet d'actualité de son association ou de sa compagnie.

-          Il a utilisé les réseaux sociaux dans un second temps (Facebook, Twitter)

-          Il compare sa communauté à une salle de cinéma pleine de spectateurs de la Métropole

-          Sa communication dans le "Ouest France" a eu un impact sur sa collecte pourtant terminée mais  toujours en ligne, et a renforcé la fierté de sa communauté de donateurs

-          Sur 123 donateurs, seuls 3 ne sont pas connus par Eric

-          Il a utilisé sa campagne pour établir des partenariats professionnels

-          Il compare ses actions à celle des enfants qui écrivent au Père Noël pour recevoir un cadeau en retour, ou  qui vendent des tickets de tombola pour leur kermesse.

Le témoignage de Françoise :   

-          un ensemble vocal d'une vingtaine de jeunes chanteuses dans l'émulation de l'opération

-          elle raconte une soirée, tous devant leur ordinateur à solliciter famille et amis 

-          des jeunes connectés qui sont vite retournées aux répétitions quand l'objectif a été atteint en moins de 10 jours !

-          pour cette troupe d'amateurs, le budget était constitué des seules cotisations des cours de chants des membres de la troupe, le crowdfunding a permis la mise en scène professionnelle de leur concert pour laquelle ils ont d'ailleurs reçu un prix, quelle fierté pour ces jeunes artistes ! La collecte a permis de rétribuer les professionnels qui sont intervenus.

-          Un lien existe avec chaque donateur, aucun n'est inconnu

-          La dynamo a été une opération fédératrice pour les artistes

-          La dynamo a crédibilisé les campagnes vis-à-vis des donateurs rassurés par cette encadrement.

Le témoignage de Chrystèle et Anne Sophie :

-          L'institution que représente Rennes Métropole les a amené à penser que cette dernière pourrait pourrait leur donner une communication un peu hors norme.  Cécile explique que la communication n'a pas fonctionné comme attendu devant une opération innovante et explique que l'on s'interroge encore sur le pourquoi.

  • Le financement participatif et les institutions

Il faut savoir, qu'en France, Le crowdfunding bénéficie de la législation la plus souple dans le monde. En terme, d'usage, elle se place juste derrière les UK et les États-Unis  où le crowdfunding est entré dans les mœurs et les usages du financement culturel depuis longtemps. Le crowdfunding bouscule les habitudes culturelles françaises de financement par les institutions publiques et il donne le pouvoir de la subvention à l'habitant; l'Etat reprend son rôle en autorisant la défiscalisation du don. Et finalement, Raymond Paulet souligne que le crowdfunding a finalement deux objectifs : le premier de permettre aux associations de donner vie à leur projet, le second pour les porteurs subventionnés plus de travailler le rapport au public.                

  • Le financement participatif: comment?

-          La moyenne des collectes en France se situe entre 3 et 4000€

-          Il permet de fidéliser et de communiquer

-          Il se mène selon la théorie sociologique des 3 cercles : Famille/ Amis, Connaissances, Inconnus – confirmé

-          C'est souvent un financement que l'on n'aurait pas eu autrement

-          Il prend du temps

  • Les tips de Proarti

À travers une anecdote, proarti explique comment une compagnie de théâtre a mobilisé son équipe autour de la collecte de 7000€ en redistribuant l'objectif vers les membres de l'équipe chargé de récolter chacun 500€.

  • La note de fin innovante

Il serait intéressant de penser un système de crowdfunding où le don en argent serait remplacé par un don en temps, en services ou en compétences (l'institution pourrait fournir un pool disponible).