« " À Rennes, rien ne prend, sauf le feu " » : différence entre les versions

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* [[rue Saint-Melaine]], les immeubles des numéros 2 à 10 ( 27 septembre [[1851]])
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* le théâtre ( 20 février[[1856]])
* le théâtre ( 20 février[[1856]])
* l'asile départemental de vieillards de la Piletière ([[ 5 février 1906]])
* l'asile départemental de vieillards de la Piletière ( 5 février [[1906]])
* l'Ecole normale des garçons, rue de Saint-Malo ( 24 août [[1908]])
* le palais du Commerce ( 29 juillet[[1911]])
* le palais du Commerce ( 29 juillet[[1911]])
* le palais Saint-Georges ( 5 août[[1921]])
* le palais Saint-Georges ( 5 août[[1921]])

Version du 12 novembre 2011 à 10:26

"À Rennes, rien ne prend sauf le feu" est un dicton populaire local d'abord apparu à la suite de l'incendie de 1720, qui avait ravagé la ville, laissant un habitant sur trois sans logement.

Monseigneur Brossais-Saint-Marc, archevêque de Rennes, accrut la renommée de ce dicton en le reprenant vers 1860.

On retrouve ce dicton repris assez régulièrement dans l'histoire locale, à l'occasion d'incendies dont voici quelques exemples  :

Cette liste non exhaustive ne doit pas, pour autant, faire penser que le dicton aurait, à Rennes, un fondement plus vérifiable que dans bien des villes, mais il est vrai que l'incendie de 1720 eut des conséquences déterminantes dans l'évolution de l'urbanisme du noyau central de la ville. * [1]

voirRennes d'histoire et de souvenirs

Sources

  • article Rennes 500 ans d’incendies par Claire Staes dans Le mensuel de Rennes, n°17, septembre 2010.
  1. De bois, de pierre, d'eau et de feu, quatre siècles d'urbanisme et d'architecture à Rennes (XVIIe-XVIIIe siècle) Archives départementales d'Ille-et Vilaine- 1995