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<big>[[Rue Paul Banéat]]</big>
<big>[[Matrimoine]]</big><br>
[[Fichier:Le vieux rennes.jpeg|130px|right]]
[[Fichier:Christine de pisan.jpg|right|180px*180px|thumb|Christine de Pizan écrivant dans sa chambre (1407)]]
« Le terme "patrimoine", issu du latin "patrimonium" fait référence au "pater familias". Il désigne, à l'origine, l'héritage que l'on tient de son père et que l'on transmet à ses enfants en vertu des lois de succession.
Le terme "matrimoine", issu du latin "matrimonium" évoque le mariage, et induit la différenciation sexuelle des rôles: aux hommes, la transmission des biens ; aux femmes la transmission de la vie. La femme et la mère semblaient n'avoir rien à transmettre, puisque leurs biens propres entraient, dans la dot, dans le patrimoine marital. Actuellement, le patrimoine définit également l'ensemble des richesses d'ordre culturel, matérielles et immatérielles appartenant à une communauté. C'est la conservation et la transmission collective intergénérationnelle de notre passé.


La rue Paul Banéat est une voie axée ouest-est de Rennes entre le boulevard Raymond Poincaré qui longe le parc de Maurepas et le boulevard de Vitré.
[[Matrimoine|Lire la suite]]
Elle est ainsi dénommée, par délibération municipale du 29 juillet 1949, en mémoire de Paul Banéat, archiviste et historien.


[[Rue Paul Banéat|Lire la suite]]
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<big>[[Bombardement du 17 juin 1940]]</big>
[[Fichier:Triage bombardé.jpg|left|250px|thumb|Vue prise du N-E vers le S-O secteur rue Auguste-Pavie]]
Les Rennais − qui avaient été surpris, le 24 février, par le premier exercice d'alerte − et les nombreux réfugiés ont entendu des tirs de la D.C.A dans le ciel de Rennes tout bleu, probablement pensera-t-on ensuite, sur un avion allemand venu repérer le triage ferroviaire de la [[plaine de Baud]] avec les trains qui y stationnaient nombreux. En fin d'après-midi, encore quelques trains de troupes françaises et britanniques se succèdent après avoir stationné sur la voie ferrée, du côté du [[boulevard Voltaire]], attendant d'entrer en gare.
 
[[Bombardement du 17 juin 1940|Lire la suite]]


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<big>[[Herbert R. Bachant, un libérateur mort devant Rennes]]</big>
<big>[[Libération de Rennes]]</big>
[[Fichier:0220A tripletsWdadRST65p.jpg|150px|right]]
[[Fichier:Rennes fete sa liberation.jpeg|right|230px|thumb|Vue partielle de la foule rennaise devant la mairie le 4 août.]]
Dès le 6 juin, l'annonce du débarquement des alliés en Normandie a des effets immédiats à Rennes. Les bombardements des 9 et 12 juin 1944 déclenchent un affolement qui s'avérera prématuré de près de deux mois, chez les Allemands : des troupes commencent à quitter Rennes. Les soldats prennent partout les bicyclettes. Des officiers partent en auto, en camions, emportant leurs valises. Les "souris grises" ont été embarquées en camions . "Ils partent ! Personne n'en croit ses yeux." Les routes sont barrées par les Allemands, ce qui a empêché l'arrivée du ravitaillement.


Un journal du New Jersey annonça, en février 2013, le décès de Muriel Bachant, 90 ans. Elle avait tout juste 22 ans et était maman de triplées de quatre mois quand son mari, Herbert Bachant de la 4e division blindée américaine (4th Armored Division) pendant la Seconde Guerre mondiale fut porté disparu au combat en France, deux mois après le jour J. 
[[Libération de Rennes|Lire la suite]]
 
[[Herbert R. Bachant, un libérateur mort devant Rennes|Lire la suite]]


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<big>[[Rue d'Isly]]</big>
<big>[[Piscine Saint-Georges]]</big>
[[Fichier:Rennes-Piscine Saint-Georges.jpg|left|280px|thumb|Piscine Saint-Georges]]
La piscine Saint-Georges, la première construite à Rennes, comprend, au-delà d'un vestibule d'entrée, un bassin entouré d'une série de cabines et de tribunes supérieures. La partie postérieure du bâtiment abrite les bains-douches qui disposent d'une entrée indépendante, [[rue Victor Hugo]]. La façade joue sur la diversité et sur la polychromie des matériaux : au dessus d´un soubassement de granite appareillé en pierre de taille, le parement de briques jaunes de Hollande ...


La rue d’Isly, est une voie nord-sud, en prolongement de la rue du Maréchal Joffre, joignant le boulevard de la Liberté à la rue de l'Alma, et borde le côté ouest de l'esplanade Charles de Gaulle.
[[Piscine Saint-Georges|Lire la suite]]
La bataille d'Isly - (Tableau, huile d' Horace Vernet) de Wikipedia Commons
Cette dénomination rappelle, d'après la plaque de rue, un "champ de bataille en Algérie - 1844".
 
[[Rue d'Isly|Lire la suite]]


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<big>[[Marie Bérenger]]</big>
<big>[[Halles centrales]]</big>
[[Fichier:Halles côté bd de la Liberté171.jpg|right|250px|Les halles centrales, côté boulevard de la Liberté 'carte postale La Cigogne)]]
Les halles centrales sont un bâtiment à vocation commerciale de l'architecte Emmanuel Le Ray situé dans le centre de Rennes, entre la rue de Nemours et la rue Jules Simon, sur le côté nord du boulevard de la Liberté et au sud de la [[Place Honoré Commeurec]]. Les halles sont construites à l'emplacement de la Halle aux grains qu'avait précédée l'ancienne église Toussaints, maintenant située à un autre endroit. Cette église lors de la Révolution Française fut d'abord livrée aux prêtres jureurs, puis cette église fut transformée en écurie pour l'armée républicaine; dans la nuit du Ier au 2 décembre 1793, un incendie ravage l'église Toussaints.
[[Halles centrales|Lire la suite]]


Marie Bérenger est une résistante, morte en déportation.Elle est née le 2 décembre 1865 à la Chapelle-Boby, commune de Rennes, de Charles Victor Bérenger, employé aux chemins de fer, et de Marie Dos. Son frère Henry, né dans l'Eure en 1867, sera sénateur de Guadeloupe de 1912 à 1945
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[[Marie Bérenger|Lire la suite]]

Version actuelle datée du 1 mars 2023 à 16:45

Matrimoine

Christine de Pizan écrivant dans sa chambre (1407)

« Le terme "patrimoine", issu du latin "patrimonium" fait référence au "pater familias". Il désigne, à l'origine, l'héritage que l'on tient de son père et que l'on transmet à ses enfants en vertu des lois de succession. Le terme "matrimoine", issu du latin "matrimonium" évoque le mariage, et induit la différenciation sexuelle des rôles: aux hommes, la transmission des biens ; aux femmes la transmission de la vie. La femme et la mère semblaient n'avoir rien à transmettre, puisque leurs biens propres entraient, dans la dot, dans le patrimoine marital. Actuellement, le patrimoine définit également l'ensemble des richesses d'ordre culturel, matérielles et immatérielles appartenant à une communauté. C'est la conservation et la transmission collective intergénérationnelle de notre passé.

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Bombardement du 17 juin 1940

Vue prise du N-E vers le S-O secteur rue Auguste-Pavie

Les Rennais − qui avaient été surpris, le 24 février, par le premier exercice d'alerte − et les nombreux réfugiés ont entendu des tirs de la D.C.A dans le ciel de Rennes tout bleu, probablement pensera-t-on ensuite, sur un avion allemand venu repérer le triage ferroviaire de la plaine de Baud avec les trains qui y stationnaient nombreux. En fin d'après-midi, encore quelques trains de troupes françaises et britanniques se succèdent après avoir stationné sur la voie ferrée, du côté du boulevard Voltaire, attendant d'entrer en gare.

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Libération de Rennes

Vue partielle de la foule rennaise devant la mairie le 4 août.

Dès le 6 juin, l'annonce du débarquement des alliés en Normandie a des effets immédiats à Rennes. Les bombardements des 9 et 12 juin 1944 déclenchent un affolement qui s'avérera prématuré de près de deux mois, chez les Allemands : des troupes commencent à quitter Rennes. Les soldats prennent partout les bicyclettes. Des officiers partent en auto, en camions, emportant leurs valises. Les "souris grises" ont été embarquées en camions . "Ils partent ! Personne n'en croit ses yeux." Les routes sont barrées par les Allemands, ce qui a empêché l'arrivée du ravitaillement.

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Piscine Saint-Georges

Piscine Saint-Georges

La piscine Saint-Georges, la première construite à Rennes, comprend, au-delà d'un vestibule d'entrée, un bassin entouré d'une série de cabines et de tribunes supérieures. La partie postérieure du bâtiment abrite les bains-douches qui disposent d'une entrée indépendante, rue Victor Hugo. La façade joue sur la diversité et sur la polychromie des matériaux : au dessus d´un soubassement de granite appareillé en pierre de taille, le parement de briques jaunes de Hollande ...

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Halles centrales

Les halles centrales, côté boulevard de la Liberté 'carte postale La Cigogne)

Les halles centrales sont un bâtiment à vocation commerciale de l'architecte Emmanuel Le Ray situé dans le centre de Rennes, entre la rue de Nemours et la rue Jules Simon, sur le côté nord du boulevard de la Liberté et au sud de la Place Honoré Commeurec. Les halles sont construites à l'emplacement de la Halle aux grains qu'avait précédée l'ancienne église Toussaints, maintenant située à un autre endroit. Cette église lors de la Révolution Française fut d'abord livrée aux prêtres jureurs, puis cette église fut transformée en écurie pour l'armée républicaine; dans la nuit du Ier au 2 décembre 1793, un incendie ravage l'église Toussaints. Lire la suite